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États-Unis: l’administration Trump publie le reste des archives sur l’assassinat de Kennedy

Cette décision prise par le gouvernement de Donald Trump fait suite à un décret signé par le président Donald Trump en janvier, ordonnant la divulgation du reste des archives sur les assassinats de JFK, mais aussi de son frère Robert F. Kennedy et de Martin Luther King.

Le reste des archives du gouvernement américain sur l’assassinat du président John F. Kennedy en 1963, qui a bouleversé les États-Unis et le monde, donnant lieu à de nombreuses théories et spéculations, a été publié mardi 18 mars par l’administration Trump.

Cette décision fait suite à un décret signé par le président Donald Trump en janvier, ordonnant la divulgation du reste des archives sur les assassinats de JFK, ainsi que de son frère Robert F. Kennedy et du leader des droits civiques Martin Luther King.

« Tous les documents non publiés pour des raisons de classification » sur l’assassinat du président Kennedy sont « rendus publics », ont annoncé les Archives nationales des Etats-Unis dans un communiqué.

Sécurité nationale

Des millions de pages de documents relatifs à cet événement majeur de l’Histoire des Etats-Unis ont déjà été publiés au cours des dernières décennies. Des milliers d’autres avaient été interdits de publication par la CIA et le FBI, invoquant des raisons de sécurité nationale.

La commission Warren, qui a enquêté sur l’assassinat du président démocrate charismatique alors âgé de 46 ans, a conclu qu’il avait été perpétré par un ancien tireur d’élite des Marines, Lee Harvey Oswald, agissant seul.

Mais cette conclusion officielle n’a guère fait taire les spéculations selon lesquelles un complot plus sinistre serait à l’origine de l’assassinat du président Kennedy à Dallas, au Texas. Et la lenteur de la publication par l’Etat des dossiers concernant l’affaire a alimenté les diverses théories du complot.

Plusieurs experts estiment peu probable que les documents encore en possession des Archives contiennent des révélations fracassantes ou mettent un terme aux théories conspirationnistes omniprésentes autour de l’assassinat du 35e président des Etats-Unis.

Lee Harvey Oswald a été abattu par le propriétaire d’un club de strip-tease, Jack Ruby, le 24 novembre 1963, deux jours après l’assassinat de Kennedy, alors qu’il était transféré vers une prison.

Théories du complot

Jusqu’ici, une grande partie des documents déjà rendus publics contenaient des éléments purement factuels, notamment des dizaines de rapports d’agents du FBI ayant suivi des pistes qui n’ont mené nulle part.

Nombreuses de ces informations étaient d’ailleurs déjà connues auparavant, comme le fait que la CIA, alors obsédée par le communisme, ait fomenté plusieurs complots saugrenus visant à assassiner le dirigeant cubain Fidel Castro.

Lee Harvey Oswald a fait défection vers l’Union soviétique en 1959, avant de revenir aux Etats-Unis en 1962.

A l’image du film « JFK » d’Oliver Stone (1991), des centaines de productions et écrits ont alimenté les théories du complot, pointant du doigt l’Union soviétique, Cuba, la mafia et même le vice-président de Kennedy, Lyndon Johnson.

La publication des documents s’inscrit dans le cadre d’une loi votée par le Congrès en 1992, exigeant que les documents relatifs à l’assassinat conservés aux Archives nationales soient intégralement rendus publics 25 ans plus tard.

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Amsterdam : quatre hommes condamnés pour violences contre des supporteurs israéliens du Maccabi Tel-Aviv

Un supporteur brandit un drapeau palestinien lors d’une manifestation en marge du match de football de l’Europa League entre l’Ajax Amsterdam et le Maccabi Tel-Aviv, à Amsterdam, le 7 novembre 2024. JEROEN JUMELET / AFP

Le tribunal d’Amsterdam a condamné, mercredi 19 mars, quatre hommes pour leur rôle dans les violences commises contre des supporteurs de football israéliens en novembre, lors d’attaques qui avaient été qualifiées d’antisémites par de nombreux gouvernements occidentaux. Ces condamnations font suite à cinq autres condamnations prononcées en décembre pour des actes de violence contre des supporteurs du Maccabi Tel-Aviv.

Lire aussi | Ce que l’on sait des violences contre des supporteurs israéliens après un match de Ligue Europa entre l’Ajax Amsterdam et le Maccabi Tel-Aviv

Les images de ces violences, qui ont valu à cinq supporteurs d’être brièvement hospitalisés, avaient alors fait le tour du monde, suscitant la réaction furieuse d’Israël. Agés de 22 à 32 ans, les suspects qui ont comparu mardi ont été reconnus coupables d’une série de crimes allant de l’« incitation à la violence » aux « insultes envers les juifs ».

Cenk. D., 27 ans, a été condamné à trois mois de prison, la peine la plus lourde, pour avoir partagé la localisation de supporteurs du Maccabi après le match de Ligue Europa entre le club israélien et l’Ajax Amsterdam. Il a également été condamné pour avoir insulté des juifs, par des commentaires dénigrant sur la Shoah et en affichant des slogans comme « Un juif mort vaut mieux qu’un juif vivant », ont déclaré les juges. « L’apologie et la banalisation de la Shoah provoquent non seulement des souffrances personnelles chez les juifs, mais peuvent également contribuer à des sentiments d’insécurité et de malaise dans la société », ont-ils ajouté.

Mounir M., 32 ans, a été condamné à six semaines de prison pour avoir été l’un des administrateurs du groupe de discussion en ligne, tandis que Kamal I., 22 ans, a été condamné à un mois de prison pour avoir communiqué l’emplacement de supporteurs du Maccabi dans la capitale néerlandaise. Le tribunal a également condamné Mohammed B., 26 ans, à trente jours de prison pour avoir poursuivi un supporteur du Maccabi et lui avoir donné « un coup de ceinture ».

Les tensions étaient vives avant le match de football. Le tribunal a noté que la violence avait été influencée par la guerre dans la bande de Gaza et que les attaques faisaient suite à deux jours d’échauffourées au cours desquelles des supporteurs du Maccabi avaient entonné des chants anti-arabes, vandalisé un taxi et brûlé un drapeau palestinien. « Tous ces éléments semblent avoir contribué à l’escalade sans précédent de la situation », ont déclaré les juges, soulignant toutefois que « ce contexte ne justifie pas l’appel à la violence physique contre des supporteurs israéliens ».

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le gouvernement néerlandais évite de peu une crise après les violents incidents à Amsterdam

Le Monde avec AFP

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Palpations, caméras-piétons…Le Parlement adopte définitivement une loi sur la sécurité dans les transports

Adoptée par le Sénat en février, la loi vise notamment les prérogatives des forces de sécurité dans les transports qui pourront procéder à des palpations sans avoir besoin du feu vert des préfets, intervenir aux abords des gares, et saisir des objets considérés comme dangereux.

Le Parlement a adopté définitivement mardi 18 mars un texte visant à renforcer la sécurité dans les transports, très attendu des professionnels mais dont certaines mesures sont décriées par la gauche, comme le renforcement des prérogatives des forces de sécurité de la SNCF et de la RATP.

Après un feu vert du Sénat lundi, le texte a été adopté par un dernier vote de l’Assemblée nationale par 303 voix contre 135, avec le soutien de la coalition gouvernementale, de l’alliance RN-ciottistes, et d’une bonne partie des indépendants du groupe Liot.

Le texte élargit notamment les prérogatives des forces de sécurité dans les transports (Sûreté ferroviaire pour la SNCF, et GPSR pour la RATP), qui pourront procéder à des palpations sans avoir besoin du feu vert des préfets, intervenir aux abords des gares, et saisir des objets considérés comme potentiellement dangereux.

Les missions régaliennes dénoncées par la gauche

« Il était temps de donner des droits aux agents de sûreté, car il n’est pas possible de leur demander d’assurer la sécurité des utilisateurs des transports en commun sans leur en donner les moyens nécessaires », s’est félicité le député Les Républicains Ian Boucard.

La gauche a au contraire dénoncé un glissement des missions régaliennes. « Les frontières entre les compétences des agents de sûreté et celles des forces de l’ordre s’atténuent dangereusement », a déploré le député communiste Stéphane Peu.

Le texte contient aussi la pérennisation du port de caméras-piétons par les contrôleurs. Une expérimentation de ce dispositif plébiscité par la profession a pris fin le 1er octobre. La proposition de loi ouvre en outre une expérimentation similaire pour les chauffeurs de bus et de car.

La loi déjà adoptée au Sénat en février 2024

La France insoumise (LFI), les socialistes, les communistes et les écologistes ont très largement voté contre. Seuls l’ancien président François Hollande et l’ancien ministre macroniste Aurélien Rousseau se sont abstenus au groupe PS.

« Je souhaite désormais une mise en oeuvre rapide de ce texte », a déclaré sur X le ministre des Transports Philippe Tabarot qui avait la particularité d’être aussi à l’origine de la proposition de loi lorsqu’il était sénateur.

Elle avait été adoptée pour la première fois au Sénat en février 2024. Son parcours législatif avait été stoppé par la dissolution en juin, puis par la censure du gouvernement de Michel Barnier en décembre.

Le texte comporte aussi une gradation des amendes pour les bagages oubliés, et la possibilité pour un juge de prononcer une interdiction de paraître dans les réseaux de transports, similaire à celle existant pour les stades de football.

Une mesure toutefois difficilement applicable surtout dans le réseau francilien, de l’aveu même de Guillaume Gouffier Valente, député macroniste rapporteur du texte à l’Assemblée. Le texte contient « une espèce d’appétit de répression », a estimé le socialiste Roger Vicot.

Vidéosurveillance algorithmique

Une autre disposition, introduite par un amendement du gouvernement, a été très critiquée: elle proroge jusqu’à mars 2027 l’expérimentation d’un dispositif de vidéosurveillance algorithmique (VSA) lors de grands rassemblements, testé notamment lors des Jeux olympiques de Paris-2024.

Avec la VSA, un algorithme analyse les images de vidéosurveillance afin de repérer des comportements suspects.

Un « cavalier » législatif sans lien suffisant avec le texte, selon certains députés, et donc susceptible d’être censuré par le Conseil constitutionnel.

« Cette expérimentation est bien plus large que les transports qui nous occupent aujourd’hui », a critiqué le député du groupe MoDem Philippe Latombe.

L’association La Quadrature du net a accusé le gouvernement – qui demande davantage de temps pour avoir le recul nécessaire sur cette technique – de « violer les promesses d’évaluation » et a déploré des « méthodes brutales (…) révélatrices de la dynamique autoritaire en cours ».

« Brique après brique, vous bâtissez une France surveillée, punie, contrôlée, enfermée », a estimé la députée insoumise Elisa Martin, qui a défendu en ouverture de séance une motion de rejet du texte, largement repoussée par les députés.

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Vincent Reynouard, négationniste et néonazi français, condamné à douze mois de prison

Vincent Reynouard au tribunal de Saverne, le 27 septembre 2007. FREDERICK FLORIN / AFP

Le négationniste et néonazi français Vincent Reynouard a été condamné, mercredi 19 mars, par le tribunal correctionnel de Paris à douze mois de prison, à effectuer sous le régime de la semi-liberté. Il a été reconnu coupable de contestations de crimes de guerre, contestation de crime contre l’humanité et provocation à la haine raciale.

Vincent Reynouard, présent à l’audience et accompagné par plusieurs dizaines de partisans, devra verser un total de 10 000 euros de dommages et intérêts aux associations parties civiles, dont la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) et l’Observatoire juif de France (OJF).

Un juge d’application des peines devra déterminer de quelle façon cette peine sera effectuée, « l’aménagement sous forme de détention à domicile sous surveillance électronique étant inapproprié dès lors que Vincent Reynouard est hébergé de manière précaire », a souligné le tribunal.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le négationniste français Vincent Reynouard interpellé en Grande-Bretagne

Condamnations passées pour négationnisme

Figure de l’ultradroite, Vincent Reynouard, âgé de 56 ans, a déjà été condamné à plusieurs reprises pour avoir nié l’existence des chambres à gaz ou le massacre d’Oradour-sur-Glane – une localité de la Haute-Vienne dont 643 habitants ont été assassinés par une unité de la division SS Das Reich, alors en pleine retraite, le 10 juin 1944.

Vincent Reynouard était cette fois jugé devant la 17e chambre correctionnelle de Paris pour des propos proférés dans des vidéos diffusées sur Internet entre 2017 et 2020. Dans l’une de ces vidéos, diffusée en mai 2017 sur YouTube et intitulée « Macron, serviteur des juifs ? », il contestait la réalité de la Shoah, qualifiée d’« histoire mensongère » ainsi que le rôle de la Waffen-SS dans le massacre d’Oradour-sur-Glane. Dans d’autres vidéos, diffusées entre septembre 2019 et mars 2020, il soutenait que c’était la Résistance qui avait commis le massacre d’Oradour-sur-Glane et non les nazis.

Ancien professeur de mathématiques révoqué de l’éducation nationale, Vincent Reynouard diffuse des thèses niant l’existence de la Shoah depuis les années 1990. Pour tenter d’échapper à la justice, il fuit en 2015 en Grande-Bretagne. Repéré par les gendarmes de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité (OCLCH) et la section SO15 de la Metropolitan Police de Londres, une unité spécialisée dans le contre-terrorisme et la lutte contre l’extrémisme, il est interpellé dans sa planque écossaise en novembre 2022 avant d’être extradé en France en février 2024. Lors de son procès, en janvier, l’ancien prof de maths avait revendiqué son appartenance « à 200 % » à la mouvance révisionniste.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Oradour-sur-Glane : le révisionniste Reynouard condamné à six mois de prison ferme

Le Monde avec AFP

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Cantines scolaires: une proposition de loi déposée pour interdire couverts et assiettes en plastique

Le gouvernement avait déposé début mars un projet de décret pour réautoriser les couverts et la vaisselle en plastique réutilisables dans les cantines scolaires, interdits depuis le 1er janvier.

Une proposition de loi va être déposée pour interdire couverts et assiettes en plastique réutilisables dans les cantines scolaires, à la suite d’une « confusion » introduite par un décret d’application, a annoncé mardi 18 mars la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher.

Promulguée en 2018, la loi Egalim avait fixé au 1er janvier 2025 l’interdiction « de contenants alimentaires de cuisson, de réchauffe ou de service en matière plastique » dans les cantines scolaires et universitaires, ainsi que dans les établissements d’accueil des enfants de moins de 6 ans.

L’interdiction avait été étendue par la loi antigaspillage pour une économie circulaire (Agec) aux services de pédiatrie, d’obstétrique et de maternité, également à partir de janvier 2025.

« La loi date d’il y a quatre ans. […] Le législateur a changé d’avis, la société va plus loin aujourd’hui, les associations, des maires se sont mobilisés en nous disant ‘on ne veut plus de plastique’. Les Françaises et les Français, les collectivités locales nous disent, ‘c’est terminé le plastique, on est déjà passé de l’autre côté' », a déclaré Agnès Pannier-Runacher sur RMC. « Aujourd’hui ça paraît idiot de ne pas tout interdire le plastique », a-t-elle résumé.

Interdire « tout ce qui est en plastique »

La ministre a expliqué que « le décret de mise en oeuvre de la loi est allé plus loin que la loi, il a englobé dans l’interdiction la vaisselle et les couverts. Et en fait, un décret ne peut aller plus loin que la loi, c’est une fragilité juridique et c’est du pain béni pour le lobby du plastique qui attaque systématiquement nos textes », selon elle.

Dans un premier temps, afin de « corriger cela », le ministère de la Transition écologique avait décidé de préparer un projet de nouveau décret qui prévoyait de remplacer les mots « le service ou la consommation des plats, y compris la vaisselle et les couverts » par simplement « le service ».

« La loi a donné une interdiction qui n’allait pas jusqu’au bout et qui était ambiguë. Le décret (initial, NDLR) a tout interdit, mais le décret ne peut pas être plus ambitieux que la loi. On va interdire tout, mais pour interdire tout, il faut une loi et ça ne peut pas être un décret qui le décide dans son coin », a annoncé Agnès Pannier-Runacher.

Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique – 12/02

« Dans ce moment de confusion », elle a annoncé que les députées Ensemble pour la République Véronique Riotton et Graziella Melchior « se proposent de déposer une proposition de loi qui va corriger et permettre d’interdire les couverts, les assiettes, tout ce qui est en plastique dans les cantines de nos enfants ».

Le lobby des plastiques dénoncé

Cette proposition de loi arrivera « le plus vite possible, et pendant ce temps-là je n’ai plus besoin de modifier le décret, on va adapter la loi au décret », a précisé Agnès Pannier-Runacher.

Le projet de décret gouvernemental initialement prévu est encore consultable sur le site du ministère de la Transition écologique. Il pouvait faire « l’objet d’observations » jusqu’au 14 mars, et parmi les commentaires – au nombre de 14.852 à ce jour -, nombre d’internautes se déclaraient scandalisés par le fait que les couverts et assiettes en plastique ne soient pas interdits.

Les commentaires qualifiaient le texte d' »ahurissant », de « scandaleux » ou encore de « retour en arrière affligeant », certains le comparant » au retour des pailles » en plastique « outre-atlantique » décrété par Donald Trump, tandis que d’autres dénoncent « le lobby des plastiques ».

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Horoscope du 19-03-2025 : Gémeaux

Bien sûr, voici votre horoscope du jour pour les Gémeaux :

Amour

Aujourd’hui, Vénus en Lion vous encourage à être plus expressif avec vos proches et à ne pas vous retenir. Partagez vos sentiments et prenez le temps de ressentir l’amour que vous avez à donner et à recevoir.

Santé

Sur le plan physique, Mars en Poissons vous invite à prendre soin de votre énergie. Évitez les activités trop exigeantes et écoutez votre corps. Une promenade tranquille ou une séance de méditation pourrait être bénéfique.

Travail

Professionnellement, Mercure dans votre signe vous aide à communiquer vos idées de manière claire et persuasive. Utilisez cette journée pour exprimer vos opinions et collaborer avec vos collègues.

Eric Debarbieux, spécialiste de la violence en milieu scolaire : « Protéger l’école contre la société est une illusion »

Eric Debarbieux, le 9 novembre 2022. SERVICE COMMUNICATION DE L’ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE L’ENSEIGNEMENT (MFW-B).

Eric Debarbieux est professeur d’université émérite en sciences de l’éducation à l’université de Créteil. Spécialiste de la violence en milieu scolaire, il a été président des assises nationales contre le harcèlement à l’école en 2011 puis délégué ministériel en charge de la prévention et de la lutte contre les violences à l’école, entre 2012 et 2016. Il vient de publier Zéro pointé ? Une histoire politique de la violence scolaire (Les liens qui libèrent, 320 pages, 22,90 euros), qui revient sur ses quarante et quelques années d’expérience.

Vous publiez un ouvrage sur l’histoire politique de la violence scolaire. Quelles sont les formes de celle-ci et entre quels acteurs s’exerce-t-elle ?

Dans ce livre, je rappelle un certain nombre de choses maintenant admises : s’il y a des violences paroxystiques relayées à cause de faits dramatiques, l’essentiel sont des faits réduits, des « microviolences », qui peuvent causer des dommages considérables quand elles se répètent, au niveau des personnels comme des élèves. Ces violences ne sont pas liées à des bandes qui entreraient dans l’établissement, même si cela existe. Ce sont des petites bagarres, des insultes, des outrages, mais aussi des violences plus passives, comme l’ostracisme.

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Sciences Po Paris: des étudiants propalestiniens évacués par les forces de l’ordre

Dans un courriel, Sciences Po Students for Justice in Palestine explique cette occupation « par un profond sentiment de solidarité avec le peuple palestinien », après des nouvelles frappes israéliennes qui ont fait plus de 400 morts à Gaza.

Des étudiants mobilisés pour la cause palestinienne ont été délogés mardi 18 mars au soir par les forces de l’ordre de locaux de Sciences Po Paris qu’ils occupaient depuis la fin d’après-midi, a-t-on appris auprès d’étudiants et de la direction.

Ils étaient « une petite trentaine », selon la direction de Sciences Po, qui a fait état auprès de l’AFP d’une évacuation « sans heurts » du campus de Saint-Thomas vers 23h30.

Les étudiants s’étaient rassemblés vers 17 heures à la cafétéria pour des prises de parole et débats, selon le même source. Face à leur refus de partir « à 23 heures, au moment de sa fermeture », « le directeur de Sciences Po a sollicité une intervention policière pour que le campus puisse fermer dans des conditions normales ».

« Sentiment de solidarité avec le peuple palestinien »

Sur des vidéos diffusées par le « Comité Palestine » Sciences Po, des étudiants entonnaient des slogans tels que « Free, Free Palestine » ou « Résistance, résistance de Paris à Gaza », dans la rue à proximité des forces de l’ordre.

Dans un courriel, Sciences Po Students for Justice in Palestine explique cette occupation « par un profond sentiment de solidarité avec le peuple palestinien » et par le refus des étudiants de « rester silencieux » face à l' »horreur » de la situation à Gaza. Ils réclament notamment « la rupture des partenariats de Sciences Po avec les universités israéliennes ».

De nouvelles frappes israéliennes, de loin les plus violentes depuis le début de la trêve en janvier, ont fait plus de 400 morts à Gaza, selon le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007.

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Guerre en Ukraine : le point sur la situation

Les pays baltes se déconnectent du réseau électrique russe, une « victoire pour la démocratie », salue la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas

L’Estonie, la Lettonie et la Lituanie se déconnectent du réseau électrique russe, samedi, pour intégrer le système européen, un processus lancé il y a des années et devenu urgent depuis l’invasion de l’Ukraine par Moscou. Les trois pays baltes, anciennes républiques soviétiques, intégrés à l’Union européenne et à l’OTAN depuis 2004, étaient reliés au réseau russe depuis l’époque de l’URSS.

« Nous ôtons à la Russie la possibilité d’utiliser le système électrique comme outil de chantage géopolitique », a résumé le ministre de l’énergie lituanien, Zygimantas Vaiciunas. Sur X, la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, ancienne première ministre estonienne, a salué « une victoire pour la démocratie ».

Des célébrations officielles sont prévues dans les trois pays. La Lettonie va physiquement couper samedi un câble électrique la reliant à la Russie, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, doit participer à une cérémonie avec les dirigeants baltes dimanche, à Vilnius, en Lituanie.

Le processus a pris de longues années en raison de nombreux problèmes technologiques et financiers et de la nécessité de diversifier entretemps l’approvisionnement, via notamment des câbles sous-marins.

Le changement est devenu urgent après l’invasion russe de l’Ukraine en 2022, qui a réveillé chez les Baltes la crainte d’être les prochains visés par Moscou.

Les trois pays ont depuis cessé d’acheter du gaz et de l’électricité russes, mais leurs réseaux électriques sont restés connectés à la Russie et à la Biélorussie, la régulation de la fréquence étant contrôlée depuis Moscou. Aussi dépendaient-ils toujours de la Russie pour un flux d’électricité stable, crucial pour les appareils nécessitant une alimentation électrique fiable, en particulier dans des processus industriels.

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