Environnement : la publication des conclusions d’un rapport phare de l’ONU bloquée par quelques pays, dont les Etats-Unis

Séance d’ouverture de la 7ᵉ Assemblée des Nations unies pour l’environnement, à Nairobi, le 8 décembre 2025. MONICAH MWANGI / REUTERS

La frontière entre science et politique est plus que jamais ténue, sous l’effet de coups de boutoir de certains pays qui tentent de mettre l’expertise au pas. Le dernier exemple en date remonte à mardi 9 décembre, lorsque l’Organisation des Nations unies (ONU) a publié son rapport phare sur l’avenir de l’environnement.

Cette somme de plus de 1 000 pages, qui paraît tous les six ans environ, n’a pas été assortie de son traditionnel « résumé à l’intention des décideurs ». Une poignée d’Etats, dont les Etats-Unis, l’Arabie saoudite et l’Iran, se sont opposés à la publication de ce texte d’une trentaine de pages qui doit éclairer leurs actions. Une première depuis le début de cette publication en 1997. Et un incident révélateur des difficultés actuelles du multilatéralisme environnemental.

Le rapport Global Environment Outlook, publié par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), a été rédigé par 287 scientifiques de 82 pays. Il constitue la synthèse la plus complète de l’état de l’environnement, de l’efficacité des politiques et des actions possibles pour tenir les objectifs en la matière.

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Nexperia : la Chine soupçonnée d’avoir dévoilé l’identité d’agents des renseignements néerlandais

Usine Nexperia, à Dongguan (Chine), le 7 novembre 2025. MAXIM SHEMETOV / REUTERS

Même si la Chine a levé, en novembre, une partie de son interdiction d’exportation vers l’Europe de composants électroniques de la société Nexperia, son conflit avec les Pays-Bas n’est visiblement pas réglé. Pour preuve la récente parution, sur un site en langue chinoise, de l’identité d’agents néerlandais des services de renseignements civils (AIVD) et militaires (MIVD).

En octobre, Vincent Karremans, le ministre de l’économie néerlandais, avait décidé de prendre le contrôle de Nexperia, une entreprise établie à Nimègue (Pays-Bas) et détenue par le groupe chinois Wingtech. Le ministre évoquait de « graves manquements de gouvernance » et une « menace pour la continuité des capacités technologiques critiques sur le sol européen ». Pékin avait protesté en bloquant les exportations de puces vers l’Europe, créant la panique dans les secteurs de l’électronique et de l’automobile, dépourvus de stocks et risquant une pénurie de composants indispensables pour la production.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le fabricant de puces Nexperia menace de mettre l’industrie automobile à l’arrêt

Face à une situation rapidement devenue critique, les Pays-Bas ont prôné l’apaisement et entamé un dialogue avec Pékin, en vue de dégager « une solution constructive », et suspendu la prise de contrôle de Nexperia le 19 novembre. L’affaire n’est pas totalement réglée et, manifestement, la Chine n’a pas renoncé à riposter.

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Affaire Miss France: Julie Zitouni, Miss Provence destituée de son écharpe, va porter plainte pour diffamation et cyberharcèlement

Miss Provence, candidate destituée de son écharpe après ses propos polémiques, va porter plainte contre le blogueur Aqababe pour diffamation et contre X pour cyberharcèlement.

Nouveau rebondissement dans le scandale Miss France. Destituée de son écharpe, Julie Zitouni, Miss Provence au concours de beauté 2026, va porter plainte contre le blogueur Aqababe pour diffamation et contre X pour cyberharcèlement, a indiqué son avocat à nos confrères de La Provence.

Propos polémiques

Depuis la soirée Miss France, qui a couronné Hinaupoko Devèze samedi dernier, la polémique ne retombe pas. Au même titre que sa camarade et concurrente Aïnhoa Lahitete, Miss Aquitaine, Julie Zitouni a été destituée de son titre régional après la parution d’une vidéo sur les réseaux sociaux, diffusée par l’influenceur Aqababe.

« Je veux pas faire ma rageuse hein mais… C’est quoi ce top 12 s’il vous plaît? Allô la terre », s’étonne Miss Aquitaine dans l’extrait paru à son insu. « Il n’y a que des grosses putes », rencherri Miss Provence. Face à la polémique grandissante, les comités Miss France des deux régions concernées ont annoncé avoir prononcé « la destitution de Julie Zitouni, Miss Provence 2025 et de Aïnhoa Lahitete, Miss Aquitaine 2025 ».

La première d’entre elle avait présenté ses excuses et tenté de se justifier dans une story Instagram, affirmant que ses propos « maladroits ne reflètent absolument pas ce que je pense des candidates. » « Sous le coup de l’émotion et du déroulement de la cérémonie, je n’ai pas mesuré la gravité de ce qui se passait », a de son côté écrit sur le même réseau social Aïnhoa Lahitete, Miss Aquitaine 2025.

Une campagne de « harcèlement en ligne » envers Miss Provence

En réaction à cette vidéo, l’avocat de Miss Provence, Me Xavier Pizarro, a assuré auprès de La Provence que sa cliente subit depuis une campagne de « harcèlement en ligne et propos mensongers diffamatoires ».

« Certains commentateurs ou intervenants médiatiques, qu’elle n’a jamais rencontrés, diffusent à son sujet des propos manifestement diffamatoires et attentatoires à son honneur », explique-t-il dans un communiqué.

Miss Provence « usera de toutes les voies de droit nécessaires pour mettre un terme à ces agissements et réparer les préjudices causés », ajoute-t-il.

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ACI Group : le tribunal accorde un sursis au repreneur ; des centaines d’emplois en jeu

Un employé du groupe ACI accroche une banderole sur une clôture, lors d’un rassemblement devant le tribunal de commerce de Lyon, le 9 décembre 2025. OLIVIER CHASSIGNOLE / AFP

Le tribunal des affaires économiques de Lyon a accordé mardi 9 décembre un nouveau sursis, d’une semaine, au groupe ACI, repreneur en série de sites industriels, lui-même en redressement judiciaire, laissant encore en suspens le sort de quelque 1 300 salariés.

Pour la holding, le tribunal a renvoyé son jugement au 16 décembre, ont annoncé à l’Agence France-Presse (AFP) les avocats de son cofondateur et actionnaire majoritaire, Philippe Rivière, après trois heures d’audience à huis clos.

Devant ce même tribunal, le 25 novembre, M. Rivière s’était engagé à trouver « les fonds suffisants » pour la sauver. Juste avant l’ouverture de l’audience, ses avocats ont présenté une nouvelle proposition de refinancement sans en révéler la teneur. « Nous avons une ou deux propositions de refinancement qui nous permettraient déjà de financer la période d’observation. Et le tribunal – et le procureur, qui est allé dans le même sens – les a prises suffisamment au sérieux pour nous accorder ce délai de respiration », a déclaré à l’AFP Me Jean-Marie Chanon. Se disant « optimiste », Philippe Rivière a assuré qu’il avait proposé des « solutions pérennes et de long terme » pour sauver son groupe et ses salariés.

En revanche, la juridiction commerciale, qui examinait en parallèle la situation de plusieurs filiales du groupe, en a placé au moins quatre nouvelles en redressement a indiqué la CGT au Monde, toutes dans la Loire (AMM42 à Champdieu, MCA à Roche-la-Molière, Somer et MDV à La Ricamarie). Selon la même source, il a également prononcé la liquidation de Tôle et Design à Saint-Etienne, avec trois mois de continuation.

Ces procédures viennent s’ajouter à celles déjà ouvertes pour une quinzaine de sociétés du groupe depuis le passage en redressement de la holding en septembre. Selon le bulletin officiel des annonces civiles et commerciales (Bodacc), sont déjà en redressement judiciaire LBY Meca à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Lorentz à Isle-lès-Villenoy (Seine-et-Marne), Lacroix-Poncet à Marignier (Haute-Savoie), Molliex Frères à Thyez (Haute-Savoie), MPM et ACI D & N à Saint-Pierre-en-Faucigny (Haute-Savoie), MPR à Scionzier (Haute-Savoie), Roche Mecatech (RMT) à Roche-la-Molière (Loire), SDML à Vitrolles (Bouches-du-Rhône), Pôle mobilité à Saint-André-lez-Lille (Nord), New Effigear à Maclas (Loire), ce qui représenterait au total près de 300 salariés.

Et cinq petites sociétés ont déjà été liquidées : SV Industries et Vissal Manufacturing à Saint-Vit (Doubs), Qarboon à Clermont-Ferrand, Berthier-Alpes à La Bâthie (Savoie) et ACI Maintenance à Roche-La-Molière (Loire), représentant au total une soixantaine de salariés.

« Boulimie »

Après plusieurs promesses non tenues de la part de cet homme également visé par une enquête pénale pour des soupçons de malversations et d’abus de bien sociaux, les juges risquent de se montrer méfiants, et la menace de liquidation de la holding n’est pas levée. Les syndicats n’ont pas plus confiance en leur patron, déchu du mandat de gestion de sa société, confiée à des administrateurs judiciaires.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Plongée dans le système du « serial repreneur » Philippe Rivière, dont le groupe ACI et ses 1 500 salariés sont en sursis

Philippe Rivière « achetait, achetait, achetait, avec boulimie » et « siphonnait les trésoreries des entreprises pour pouvoir se repositionner en sauveur », assène Fabrice Fort, coordinateur de la CGT Métallurgie de la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui parle d’un « Bernard Tapie bis ».

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Devant le tribunal de Lyon, où la CGT avait organisé une manifestation, le syndicaliste accuse aussi l’Etat d’être « responsable » de la situation, « avec le scandale des aides publiques accordées à ce genre de montage avec nos impôts, sans contrepartie, sans contrôle, sans transparence ».

Créé en 2019 par Philippe Rivière et Patrice Rives, ACI Group a racheté très rapidement une trentaine d’entreprises, sous-traitantes de grandes entreprises de la défense, de l’aéronautique et du nucléaire civil. Son patron, friand des médias et des réseaux sociaux, se posait volontiers en défenseur de la « souveraineté industrielle française ».

Une dette de 55,7 millions d’euros

Selon Bercy, la holding ACI Group, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 120 millions d’euros en 2024, compte à ce jour 33 entités et 1 327 salariés. Mais ses comptes sociaux font état d’une dette de 55,7 millions d’euros.

Le ministre de l’économie, Roland Lescure, qui suit de près ce dossier, a promis que l’Etat se pencherait sur « toutes les filiales, les unes après les autres », dont certaines « vont bien », et d’autres, « moins bien », pour « tenter de trouver des repreneurs ».

La CGT a accusé mardi, lors d’un point presse à Paris, le gouvernement et la Banque publique d’investissement (BPI) de « dérouler le tapis rouge aux fonds vautours » pour reprendre les entreprises industrielles en difficulté. Le syndicat a dressé un état des lieux des plans sociaux dans l’industrie, et sa secrétaire générale, Sophie Binet, a énuméré les exemples de projets de reprise d’entreprises industrielles en proie à des difficultés, comme l’aciériste Novasco (ex-Ascometal), où plus de 500 emplois vont être supprimés.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les difficultés du groupe ACI interrogent sur la vigilance voire la complaisance de Bercy

Le Monde avec AFP

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LIBRE ARBITRE DE DYLAN SLAMA


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RDC : le M23 soutenu par le Rwanda pénètre dans la ville stratégique d’Uvira

Des piétons traversent un pont à Uvira, dans l’est de la République démocratique du Congo, le 9 décembre 2025. AFP

Le M23 soutenu par le Rwanda et son armée a pénétré mardi 9 décembre dans les faubourgs d’Uvira, ville stratégique de l’est de République démocratique du Congo (RDC) située aux portes du Burundi voisin, mettant à mal un accord « pour la paix » récemment entériné sous les auspices de Washington.

Cette nouvelle percée du groupe armé antigouvernemental M23, qui affirme défendre les intérêts des populations tutsi de la région, survient près d’un an après l’offensive éclair qui lui avait permis avec ses alliés rwandais de s’emparer entre janvier et février des deux grandes villes de l’est de la République démocratique du Congo (RDC), Goma et Bukavu.

Depuis mars, le front s’était relativement stabilisé et des pourparlers avaient été engagés ces derniers mois. Jeudi, le président congolais, Félix Tshisekedi, et son homologue rwandais, Paul Kagame, ont ratifié à Washington un accord visant à mettre un terme au conflit et qualifié de « miracle » par le président américain, Donald Trump.

L’accord, dont la mise en œuvre s’annonçait déjà difficile lorsqu’il avait été conclu en juin, prévoit une contrepartie économique promettant d’assurer à l’industrie de pointe américaine un approvisionnement en minerais stratégiques. L’Est congolais, région frontalière du Rwanda en proie à des conflits depuis trente ans, est riche en ressources naturelles.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés A Washington, sous les auspices de Donald Trump, la RDC et le Rwanda signent un accord de paix fragile

30 000 personnes ont fui les combats

Mardi soir, au terme d’une avancée rapide, des combattants du M23 soutenus dans l’est de la RDC par 6 000 à 7 000 soldats rwandais, selon des experts de l’ONU, sont entrés par le nord de l’agglomération d’Uvira, d’après des sources sécuritaires et militaires.

« Le M23 est venu en larguant des bombes », a dit un officier de l’armée congolaise (FARDC), précisant que son unité avait quitté Uvira dans l’après-midi. « Il y a des tirs isolés environ toutes les trente minutes, tout le monde est terré chez soi », a dit à l’Agence France-Presse sous couvert de l’anonymat un représentant de la société civile locale joint par téléphone.

La ville enclavée entre des montagnes et le lac Tanganyka s’est largement vidée au cours de la journée à mesure que le M23 avançait, habitants, soldats, policiers et personnels administratifs fuyant devant la menace. Plus de 30 000 Congolais ont fui les combats et sont arrivés au Burundi en une semaine, selon un responsable administratif local burundais et une source onusienne.

Scènes de chaos

Des colonnes de soldats congolais, dont certains ont abandonné armes et uniformes, ont fui la ville, se dirigeant vers le sud du pays à bord de véhicules réquisitionnés à des civils ou même à pied, selon des sources militaires. D’autres ont tenté d’emprunter un bateau sur le lac, la cohue au port local créant des tensions. Des tirs désordonnés ont été entendus.

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Des scènes de « chaos » dans la ville ont été décrites par plusieurs témoins civils et militaires. Certains FARDC ont pillé magasins et pharmacies sur leur passage, arrachant même des téléphones aux mains des habitants, selon des témoins et des sources militaires. Plusieurs centaines de soldats congolais et burundais avaient déjà quitté les combats lundi et traversé la frontière pour se réfugier au Burundi.

Les Etats-Unis et plusieurs pays européens ont exhorté mardi dans un communiqué commun le M23 et Kigali à cesser « immédiatement » leur offensive en cours. Le M23 et les troupes rwandaises ont lancé l’offensive le 1er décembre, plusieurs sources sécuritaires signalant alors d’« importants mouvements de troupes » avec notamment l’arrivée de renforts rwandais au cours des deux dernières semaines.

Risque d’une crise régionale

Le Burundi, qui entretient des relations houleuses avec le Rwanda depuis des années, est présent dans l’est de la RDC depuis 2023. Avec au départ 10 000 soldats déployés, l’armée burundaise compte actuellement quelque 18 000 hommes sur le sol congolais, selon une source sécuritaire.

Située sur la rive nord du lac Tanganyika, Uvira fait face à la capitale économique burundaise, Bujumbura, les deux villes étant distantes d’une vingtaine de kilomètres. La prise de cette cité par le M23 donne une dimension régionale à la crise et constitue une menace directe aux yeux du Burundi, le coupant totalement du territoire de la RDC.

Le président du Burundi, Evariste Ndayishimiye, avait été parmi les premiers à mettre en garde, tout comme l’ONU, contre le risque que le conflit dans l’est de la RDC ne tourne en guerre régionale dans les Grands Lacs après l’offensive d’ampleur du M23 en début d’année.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés La paix s’éloigne dans l’est de la RDC, malgré la médiation des Etats-Unis et du Qatar

Le Monde avec AFP

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« Je n’ai pas confiance du tout »: Éric Zemmour favorable à une primaire de la droite mais pas à ce qu’elle soit organisée par Les Républicains

Invité sur BFMTV ce dimanche 7 décembre, le président de Réconquête est revenu sur l’organisation d’une primaire des droites mise notamment sur la table par Laurent Wauquiez, le chef des députés LR.

Éric Zemmour est partant pour jouer le jeu d’une primaire des droites pour désigner un candidat à la présidentielle 2027, à quelques conditions près. Interviewé ce dimanche 7 décembre sur BFMTV, le président de Reconquête a dit être d’accord pour participer à un tel scrutin à condition qu’il soit « ouvert à tous les électeurs qui se sentent de droite » et qu’il « ne soit pas organisé par LR ».

Le candidat à la présidentielle de 2022 a posé ses conditions il y a un peu moins d’un mois lors d’un déjeuner avec Laurent Wauquiez, chef de file des députés Les Républicains et partisan d’une primaire « allant de Gérard Darmanin à Sarah Knafo« , la députée européenne Reconquête.

Lors de cet entretien, Éric Zemmour a donné son accord à l’organisation d’une telle primaire sans le Rassemblement national.

« D’abord parce qu’ils n’en veulent pas et deuxièmement parce que sur le plan économique ils sont de gauche », a justifié le patron de Reconquête. En revanche, il « veut qu’elle soit ouverte à tous les électeurs qui se sentent de droite ».

Pourquoi Éric Zemmour tente-t-il d’infiltrer les élections de parents d’élèves ?

« Vous vous souvenez du chien Douglas? »

Autre condition nécessaire, que cette primaire « ne soit pas organisée par LR » parce qu’il « n’a pas confiance du tout » dans le parti présidé par Bruno Retailleau. Et Éric Zemmour de prendre pour exemple le processus qui avait abouti à la désignation de Valérie Pécresse comme candidate en vue de 2022 « parce qu’ils avaient fait voter les chiens ».

« Vous vous souvenez du chien Douglas et des faux électeurs d’origine asiatique? », a ajouté Éric Zemmour. Des allusions à une enquête de Libération parueen février 2022 selon laquelle un chien prénommé Douglas avait pu adhérer à LR peu avant la primaire grâce à son propriétaire, un sympathisant d’Eric Ciotti.

Le quotidien avait également pointé du doigt de nouveaux adhérents en Île-de-France, la région présidée par Valérie Pécresse, qui avaient parfois été recrutés au sein de la communauté chinoise par des responsables d’associations communautaures.

D’après Éric Zemmour, Laurent Wauquiez a affirmé être d’accord pour que Les Républicains ne soient pas aux manettes de la primaire. « C’est ce qu’il m’a dit, après on verra bien », a-t-il précisé, ajoutant qu’il préférait se tourner vers « des gens de l’extérieur ».

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