Le parquet de Nantes a indiqué, ce vendredi 12 décembre, qu’un homme a été mis en examen pour le meurtre d’un trentenaire retrouvé sans vie à son domicile d’Orvault, en Loire-Atlantique.
Un homme a été mis en examen pour meurtre et écroué dans l’enquête sur la mort d’un trentenaire, dont le corps avait été retrouvé à son domicile d’Orvault (Loire-Atlantique) début octobre, a indiqué vendredi le parquet de Nantes.
« Je vous confirme la mise en examen pour meurtre et le placement en détention de l’intéressé », a déclaré à l’AFP le procureur de la République de Nantes Antoine Leroy, confirmant une information de Ouest-France.
« Une procédure complexe »
Le procureur n’a pas apporté plus de précision sur le suspect, évoquant « une procédure complexe » et en cours d’instruction.
La victime, un homme âgé de 33 ans, présentait des plaies à différents endroits de son corps dont au moins un coup de couteau dans le dos, selon des sources policières au lendemain de la découverte du corps. Son visage portait des traces de coups et était couvert de sang.
Il était connu des services de police pour des faits de stupéfiants. L’enquête est confiée à la police judiciaire de Nantes, selon M. Leroy.
Le premier ministre thaïlandais, Anutin Charnvirakul (au centre), lors d’une conférence de presse à la Maison du gouvernement, à Bangkok, le 12 décembre 2025. CHANAKARN LAOSARAKHAM / AFP
Le Cambodge a suspendu tous les passages frontaliers avec la Thaïlande, samedi 13 décembre, après que Bangkok a démenti la conclusion d’un cessez-le-feu mettant fin à plusieurs jours d’affrontements meurtriers, affirmée par le président américain, Donald Trump.
Le ministère de la défense thaïlandais a de son côté annoncé que quatre de ses soldats avaient été tués samedi par les forces cambodgiennes, portant à 14 le nombre de soldats thaïlandais morts depuis la reprise des combats lundi à la frontière entre les deux voisins d’Asie du Sud-Est.
Après un premier épisode de violences en juillet, des affrontements cette semaine entre ces deux pays membres de l’Asean (Association des nations de l’Asie du Sud-Est) ont fait au moins 25 morts et forcé des centaines de milliers de personnes à fuir de part et d’autre de la frontière, longue d’environ 800 kilomètres. Les deux pays s’accusent mutuellement d’avoir déclenché cette crise.
« Le gouvernement royal du Cambodge a décidé de suspendre tous les mouvements d’entrée et de sortie à tous les points de passage de la frontière Cambodge-Thaïlande, avec effet immédiat et jusqu’à nouvel ordre », a fait savoir le ministère de l’intérieur du Cambodge dans un communiqué.
La Thaïlande a par ailleurs annoncé samedi la poursuite de ses opérations militaires contre le Cambodge. Le premier ministre thaïlandais, Anutin Charnvirakul, a assuré devant des journalistes que le président américain n’avait « pas dit si nous devions instaurer un cessez-le-feu » lors d’un appel vendredi visant à mettre fin aux derniers combats, en précisant qu’ils « n’en ont pas discuté ».
« La Thaïlande continuera à mener des actions militaires jusqu’à ce que nous estimions que notre territoire et notre peuple ne sont plus menacés », avait affirmé un peu plus tôt dans la journée le premier ministre thaïlandais. L’aviation thaïlandaise affirme avoir « détruit avec succès » deux ponts au Cambodge utilisés selon elle pour acheminer des armes vers le champ de bataille.
De son côté, le ministère de la défense cambodgien a affirmé sur X que « les forces armées thaïlandaises avaient utilisé deux avions de combat F-16 pour larguer sept bombes » sur plusieurs cibles. Selon le ministre de l’information, Neth Pheaktra, la Thaïlande « a élargi ses attaques pour viser des infrastructures civiles et des civils cambodgiens ». L’armée thaïlandaise a pour sa part déclaré que six civils avaient été blessés samedi par des roquettes cambodgiennes.
L’annonce de la poursuite des hostilités est faite quelques heures après que Donald Trump a assuré que Bangkok et Phnom Penh, qui se disputent des morceaux de territoire depuis des décennies, avaient accepté de faire taire les armes.
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« International »
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« J’ai eu une excellente conversation ce matin avec le premier ministre de Thaïlande, Anutin Charnvirakul, et le premier ministre du Cambodge, Hun Manet, au sujet de la très regrettable résurgence de leur guerre qui dure depuis longtemps. Ils ont accepté de cesser tout tir dès ce soir et de revenir à l’accord de paix initial conclu avec moi, et avec eux, avec l’aide du grand premier ministre de Malaisie, Anwar Ibrahim », avait écrit vendredi soir le président américain sur son réseau, Truth Social.
Le premier ministre cambodgien, Hun Manet, a suggéré aux Etats-Unis et à la Malaisie d’utiliser leurs capacités de renseignement « pour vérifier quelle partie a ouvert le feu en premier » le 7 décembre.
En juillet, un premier épisode de violences avait fait 43 morts en cinq jours et poussé quelque 300 000 personnes à fuir de la zone, avant un cessez-le-feu sous l’égide des Etats-Unis, de la Chine et de la Malaisie, qui exerce la présidence tournante de l’Asean.
La Thaïlande et le Cambodge se disputent la souveraineté de territoires où se trouvent des temples de l’empire khmer le long de leur frontière tracée au début du XXe siècle durant la période coloniale française. Ils avaient cosigné le 26 octobre un accord de cessez-le-feu, sous l’égide de Donald Trump, mais Bangkok l’a suspendu quelques semaines plus tard après l’explosion d’une mine ayant blessé plusieurs de ses soldats.
« Hier, c’étaient eux, demain, ce sera nous »: les agriculteurs se mobilisent pour dénoncer les abattages des troupeaux affectés par la dermatose nodulaire en Ariège
Dermatose bovine: « La France peut revenir à une politique d’abattage sélective uniquement pour les animaux gravement malades », dit Véronique Le Floch, ancienne Présidente de la Coordination Rurale
Abattage de troupeaux lors de cas de dermatose: « Il y a sans doute des administrations centrales qui appliquent des réglementations sans tenir compte de la détresse » des éleveurs, déclare Pascal Lavergne, ancien député
Les candidates défilent sur scène lors de Miss France 2026 au Zénith, à Amiens, en Picardie, le 6 décembre 2025. SAMEER AL-DOUMY / AFP
Julie Zitouni, Miss Provence 2025, et Aïnhoa Lahitete, Miss Aquitaine 2025, ont été destituées par leurs comités respectifs, mardi 9 décembre, après une vidéo postée samedi sur les réseaux sociaux dans laquelle, alors en loges, elles qualifient de « grosses putes » leurs 12 concurrentes sélectionnées pour la demi-finale, a appris l’Agence France-Presse dans un communiqué.
« Ces propos injurieux et cette attitude sont en totale contradiction avec les valeurs que nos comités s’efforcent de défendre », ont fait part les deux comités régionaux Provence et Aquitaine, rappelant que « le rôle d’une Miss régionale est d’être une ambassadrice de sa région, un visage de sérieux, de respect et de responsabilité ». Leur destitution a été décidée « avec le soutien de la société Miss France et de l’Amicale des délégués régionaux Miss France », ont-ils précisé.
« Nous tenons à souligner que Julie et Aïnhoa ont présenté des excuses publiques, ainsi qu’aux candidates concernées, et nous en prenons acte. Néanmoins, la gravité des propos tenus rend impossible le maintien de leur titre de Miss Provence 2025 et de Miss Aquitaine 2025 », ont souligné Lydia Podossenoff et Eric Laurens, délégués régionaux Provence-Côte d’Azur et Aquitaine.
Dans leur communiqué, ils condamnent par ailleurs « avec la même fermeté » le « déferlement de cyberviolence et de harcèlement dont Julie et Aïnhoa font l’objet depuis [la] diffusion » de leurs propos. Aucune faute ne justifie la haine, l’acharnement ou les menaces sur les réseaux sociaux », poursuivent-ils. Miss Tahiti, Hinaupoko Devèze, 23 ans, a été élue samedi soir Miss France 2026 parmi 30 prétendantes à la couronne.
L’émissaire américain va rencontrer le président ukrainien et les Européens ce week-end à Berlin, alors que les discussions pour mettre fin à la guerre patinent, Washington réclament d’importantes concessions à Kiev.
Donald Trump envoie son émissaire Steve Witkoff à Berlin ce week-end pour rencontrer Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens, au moment où les États-Unis poussent l’Ukraine à des concessions majeures pour mettre fin à la guerre avec la Russie.
Le président américain a clairement affiché son impatience concernant l’avancée des discussions autour de son plan qui vise à régler le conflit déclenché par l’invasion russe à grande échelle de février 2022 et ayant fait des centaines de milliers de morts et de blessés.
Washington demande d’importantes concessions à Kiev
Le président ukrainien avait déjà prévu de se rendre lundi 15 décembre dans la capitale allemande pour rencontrer ses alliés européens, dans le cadre de l’intense ballet diplomatique engagé autour du plan américain dévoilé il y a près d’un mois.
Les négociateurs bloquent en particulier sur les questions territoriales, les États-Unis réclamant, déplore Kiev, d’importantes concessions.
En échange, l’armée russe se retirerait de toutes petites zones conquises par elle dans les régions de Soumy, Kharkiv et Dnipropetrovsk (nord, nord-est et centre-est) mais conserverait des territoires plus larges dans celles de Kherson et de Zaporijjia (sud).
Avant toute négociation territoriale, les Européens et Ukrainiens ont demandé aux Américains des « garanties de sécurité » qui seraient prévues en cas de nouvelle offensive russe, a déclaré la présidence française vendredi.
Le temps presse pour Donald Trump, qui vise le prix Nobel de la paix et dont la porte-parole a fait savoir jeudi qu' »il en a assez des réunions qui n’ont d’autre but que de se réunir ».
L’armée ukrainienne en recul
Ces efforts américains interviennent à un moment difficile pour l’Ukraine: la présidence a été déstabilisée par un vaste scandale de corruption impliquant des proches de Volodymyr Zelensky, l’armée est en recul sur le front et la population est soumise à des coupures de courant à cause des frappes russes.
L’armée ukrainienne a cependant affirmé avoir repris aux Russes plusieurs quartiers de la ville clé de Koupiansk, dans la région de Kharkiv, ainsi que deux localités proches.
Dans le sud, un navire turc a été endommagé vendredi par une frappe aérienne russe dans le port de Tchornomorsk, près d’Odessa. Des images diffusées sur les réseaux sociaux montrent ce bâtiment bleu et blanc en feu.
Le propriétaire de ce bateau, l’armateur turc Cenk Shipping, a expliqué dans un communiqué que le M/V CENK T, « qui transporte des camions entièrement chargés de fruits frais, de légumes et de denrées alimentaires sur la route Karasu-Odessa », avait été « victime d’une attaque aérienne ». La Turquie a réagi en réitérant sa demande d’une « suspension » des frappes ciblant les infrastructures énergétiques et portuaires.
Ankara a mis en garde ces dernières semaines contre une « escalade inquiétante » en mer Noire, après que l’Ukraine a revendiqué des attaques de drones navals contre des pétroliers liés selon elle à la Russie dans la région.
L’Ukraine réplique aux bombardements russes en envoyant des dizaines de drones quotidiennement vers la Russie, visant en particulier l’industrie pétrolière qui permet à Moscou de financer la guerre.
Dans la région russe de Saratov, sur la Volga, à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière ukrainienne, une attaque de drone à fait un mort dans la nuit de vendredi à samedi, a annoncé le gouverneur régional Roman Boussarguine.
Donald Trump, le 8 décembre 2025 à la Maison Blanche. ALEX BRANDON / AP
« Je pense qu’ils sont faibles, mais je pense aussi qu’ils veulent être tellement politiquement corrects. (…) Je pense qu’ils ne savent pas quoi faire. » C’est une nouvelle attaque frontale contre les dirigeants européens, la plus virulente à ce jour par Donald Trump contre l’Europe et ses dirigeants, dans la droite ligne de la stratégie de sécurité nationale dévoilée par la Maison Blanche, qui évoquait la « perte des identités nationales » européennes.
Dans un entretien publié mardi sur le site américain Politico, le président américain, qui est désigné par la publication comme « la personnalité la plus influente » en Europe, affirme que la Russie se trouve selon lui en position de force dans la guerre en Ukraine et accuse les dirigeants européens d’« inaction », tout en disant estimer que l’immigration menace la viabilité de plusieurs Etats européens.
Reprenant son thème favori, Donald Trump soutient que l’invasion de l’Ukraine n’aurait « jamais eu lieu » s’il avait été président. « Je pense que si je n’étais pas président, vous auriez pu avoir une troisième guerre mondiale. Vous auriez eu un problème bien plus grave que celui que vous avez en ce moment (…). C’est un gros problème pour l’Europe. Et ils ne le gèrent pas bien. »
« La Russie a l’avantage. Et elle l’a toujours eu. Elle est bien plus grande et plus forte. Je tiens à saluer le courage et la bravoure du peuple et des militaires ukrainiens, mais à un moment donné la force l’emporte, et dans ce cas précis elle est considérable », déclare Donald Trump. « Ils ont perdu du territoire bien avant mon arrivée. Ils ont perdu toute une bande de littoral, une grande portion de littoral. Ils ont perdu beaucoup de terres, et des terres de très grande qualité. On ne peut certainement pas parler de victoire », poursuit le président. Toutefois, près de quatre ans après le début de l’invasion, la Russie n’est toujours pas parvenue à contrôler l’intégralité du Donbass.
Il estime encore que Volodymyr Zelensky devrait organiser une élection présidentielle : « Je pense que c’est important d’organiser une élection. Ils se servent de la guerre pour ne pas organiser d’élection (…). Peut-être que Zelensky gagnerait. Je ne sais pas qui gagnerait. Mais ils n’ont pas eu d’élection depuis longtemps. Vous savez, ils parlent de démocratie, mais à un moment donné ce n’est plus vraiment une démocratie. »
Il poursuit et reproche au chef de l’Etat ukrainien de ne pas avoir étudié les dernières propositions de paix. « Il devrait les lire », déclare-t-il. « Son équipe a adoré la proposition. Ils l’ont vraiment appréciée », ajoute-t-il. « Il va falloir qu’il se ressaisisse et qu’il commence à accepter les choses (…), parce qu’il est en train de perdre », reprend Donald Trump dans l’interview.
« L’Europe prend certaines mauvaises directions »
Le président américain accuse plusieurs gouvernements européens d’avoir laissé « entrer des millions de personnes », dénonçant des politiques migratoires « désastreuses » qui auraient transformé des villes comme Paris, Londres et Stockholm. Il évoque une Europe « en déclin » dirigée par des responsables « faibles ».
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« J’adorais Paris. C’est un endroit très différent de ce qu’il était. Si vous regardez Londres, vous avez un maire nommé Khan. C’est un maire horrible, vicieux, dégoûtant », a-t-il ajouté. L’édile en question, Sadiq Khan, a répliqué dans un entretien à Politico : « Je ne sais vraiment pas pourquoi le président Trump est à ce point obsédé par le maire de Londres. »
Evoquant les immigrés en Europe, Donald Trump a assuré qu’ils « arrivent de tous les endroits du monde. Pas seulement du Moyen-Orient, ils arrivent du Congo (…). Et, pis encore, ils viennent des prisons du Congo et de nombreux autres pays ». Il applique le même argumentaire pour les Etats-Unis, affirmant sans preuve que le pays connaissait un afflux de migrants venus de prisons ou d’hôpitaux psychiatriques d’Amérique latine.
Lundi, déjà, à la Maison Blanche, le président américain avait lancé à la presse : « L’Europe doit faire très attention », en ajoutant : « L’Europe prend certaines mauvaises directions, c’est très mauvais, très mauvais pour les gens. Nous ne voulons pas que l’Europe change autant. »
Le président réaffirme enfin son soutien à des dirigeants comme Viktor Orban, en Hongrie, et insiste sur le fait qu’il n’a « aucun projet » de départ de l’OTAN, tout en disant souhaiter que les Européens « assument davantage » leur défense. Le milliardaire a ironisé quant à la dépendance des Européens à la protection militaire américaine, en lançant : « L’OTAN m’appelle “papa”. »
Refus d’exclure l’envoi de troupes américaines au Venezuela
Les relations entre l’Europe et les Etats-Unis se sont tendues dans plusieurs dossiers depuis le retour au pouvoir de Donald Trump, en janvier, du rapprochement américain avec la Russie au soutien affiché des Etats-Unis aux partis conservateurs ou d’extrême droite en Europe. « Que les Américains veuillent maintenant sauver la démocratie en Europe, je n’en vois pas la nécessité », a estimé le chancelier allemand, Friedrich Merz, mardi, lors d’une visite en Rhénanie-Palatinat, région allemande abritant d’importantes bases militaires américaines. « Si elle devait être sauvée, nous pourrions le faire nous-mêmes », a ajouté Friedrich Merz.
Dans l’entretien, Donald Trump refuse à plusieurs reprises d’exclure l’envoi de troupes américaines au Venezuela : « Je ne veux ni exclure ni confirmer. Je n’en parle pas », déclare le président à propos d’un éventuel déploiement terrestre, en ajoutant : « Je ne veux pas vous parler de stratégie militaire. » Il ajoute qu’il envisage d’utiliser la force contre des cibles dans d’autres pays où le trafic de drogue est très actif, notamment au Mexique et en Colombie.
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« Je voulais rentrer chez moi. Je me rends compte que j’ai passé presque un tiers de ma vie dans un camp de réfugiés. Sous une tente. Je ne voulais plus imposer cela à mes trois filles »,ditAïcha, croisée en compagnie de son aînée, Rafaa, 13 ans, dans un centre communautaire du Croissant-Rouge installé dans le quartier de Tadamone, dans le sud de Damas. Aïcha est rentrée début septembre en Syrie après douze années d’exil au Liban.
En ce début novembre, elle vient s’enregistrer dans l’espoir de bénéficier de l’aide au retour que distribue le Haut-Commissariat aux réfugiés des Nations unies (HCR),qui soutient le Croissant-Rouge, à raison de 600 dollars (515 euros) pour les familles les plus vulnérables. Elle vient aussi solliciter l’aide du service juridique pour faire enregistrer auprès de l’état civil syrien ses deux plus jeunes filles, nées en exil et dans l’anonymat des camps de réfugiés. Ce qui les prive comme des dizaines de milliers d’enfants d’une existence légale, la famille n’étant pas en mesure de prouver leur identité auprès de l’administration.
Aïcha et sa fille Rafaa au centre communautaire du Croissant-Rouge pour obtenir de l’aide pour les démarches administratives qui permettront le retour à l’école de Rafaa, à Tadamone (Syrie), le 4 novembre 2025. LAURENT VAN DER STOCKT POUR « LE MONDE »
Le 8 décembre 2024, la dynastie des Al-Assad tombait après cinquante-quatre ans de règne sans partage sur le pays. L’épilogue de quatorze années de guerre qui ont ravagé la Syrie. Le conflit a provoqué l’une des plus grandes crises migratoires au monde : environ 6,8 millions de Syriens − soit près d’un tiers de la population − ont fui le pays au plus fort du conflit, en 2021, cherchant un refuge là où ils le pouvaient. Plus de la moitié de ces réfugiés, environ 3,74 millions, se sont installés dans la Turquie voisine, tandis que 840 000 ont trouvé refuge au Liban et 672 000 en Jordanie. Un peu plus d’un million sont parvenus à rejoindre l’Europe, après un périple de milliers de kilomètres en mer et sur terre. A ces chiffres s’ajoutent les 7 millions de déplacés internes.
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Ce mercredi 10 décembre 2025 a eu lieu le deuxième tirage du Loto de la semaine. Si vous avez joué, vous pouvez consulter les résultats ici.
Comme toutes les semaines, la Française des Jeux organise trois tirages du Loto. Ils ont lieu le lundi, le mercredi et le samedi. C’est donc le deuxième tirage du Loto de la semaine qui s’est déroulé ce mercredi 10 décembre 2025. Si vous souhaitez jouer au Loto, vous devez cocher 5 numéros sur une grille de 49 numéros, et 1 numéro Chance sur une grille de 10 numéros. La grille simple est à 2,20 euros.
Les résultats du Loto de la Française des Jeux du mercredi 10 décembre 2025
Le deuxième tirage du Loto de la semaine, c’était ce mercredi 10 décembre 2025. Voici les numéros qui ont été tirés au sort.
Résultats loto
Tirage du mercredi 10 décembre 2025
Résultats Option 2nd tirage
Prochain tirage le samedi 13 décembre 2025
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