En Chine, la déconfiture des restaurants Xibei, stars du « fait maison »

Un des restaurants de la chaîne Xibei, à Pékin, le 14 septembre 2025. VCG/GETTY IMAGES

Ce n’est plus la foule des grands jours aux abords du restaurant Xibei, à l’entrée d’un centre commercial huppé de Shougang, à l’ouest de Pékin. Des employés s’empressent d’offrir le thé aux rares badauds patientant à l’extérieur, par 0 °C. Gigot d’agneau grillé, nouilles aux flocons d’avoine : depuis peu, les plats signature du restaurant sont bradés… Une manière radicale, pour ne pas dire désespérée, de reconquérir une clientèle récemment abasourdie par un scandale alimentaire.

Xibei, une chaîne de 370 restaurants présents dans les grandes métropoles chinoises, surfait jusqu’ici sur un créneau très en vogue : une cuisine rustique, familiale et surtout faite maison. Dans les ascenseurs des immeubles résidentiels, ses publicités montrent une complicité souriante entre les parents et le président‑fondateur, Jia Guolong, unis par la promesse de faire grandir les enfants avec de « bons ingrédients ».

Mais, le 11 septembre, l’entrepreneur de la tech Luo Yonghao, pionnier du e‑commerce reconverti dans l’intelligence artificielle et connu pour son franc‑parler, s’en mêle. Attablé dans un établissement et persuadé que son plat a été préparé à l’avance puis réchauffé et non cuisiné sur place, il dénonce sur les réseaux ce qu’il estime être une tromperie – et le scandale éclate.

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Laurent Vinatier emprisonné: la mère du chercheur dit avoir désormais « beaucoup d’espoir » qu’il soit libéré prochainement

Brigitte Vinatier assure sur BFMTV voir des signes positifs d’une libération prochaine de son fils. Lors d’une annonce surprise ce jeudi 25 décembre, la Russie a annoncé jeudi avoir fait une « proposition » à la France concernant l’affaire du chercheur.

« Notre espoir, c’est de revoir notre fils le plus vite possible ». Brigitte Vinatier, la mère du chercheur français emprisonné en Russie depuis juin 2024, a réagi sur BFMTV à l’annonce russe d’une « proposition » faite à la France concernant Laurent Vinatier, ouvrant la porte à une éventuelle libération.

« Pendant les fêtes de fin d’année, ce serait une merveilleuse nouvelle. Nous n’osons pas encore y croire, mais nous avons beaucoup d’espoir », confie-t-elle à notre antenne.

« Pendant quelque temps, il n’y avait strictement aucun signe », poursuit Brigitte Vinatier, « mais maintenant, le président Poutine a réagi à la question posée par Jérôme Garro, vendredi dernier ; ensuite, hier, il y a eu cette proposition de Dmitri Peskov (porte-parole du Kremlin, NDLR) (…), nous voulons y voir un très bon signe ».

Une lettre pour Noël

« Nous venons de recevoir ce matin, par l’intermédiaire de notre belle-fille (…), une lettre de notre fils qu’il tenait à nous envoyer pour Noël », se réjouit Brigitte Vinatier tout en assurant avoir des échanges de courriers assez fréquents avec Laurent.

Selon elle, tant sur le plan physique que psychologique, son fils « va bien. » « Il est résilient, il a fait un énorme travail sur lui-même, puisqu’aujourd’hui ça fait plus de 560 jours qu’il est retenu. » Et d’ajouter, « l’ambassadeur de France lui a fait parvenir un colis de victuailles pour Noël. »

Brigitte Vinatier assure n’avoir pas eu plus d’informations ni de la part du Quai d’Orsay, ni de celle de l’entourage du président Emmanuel Macron. « Nous attendons demain, 26 décembre, pour prendre contact avec la cellule de crise du Quai d’Orsay », explique la mère du chercheur.

Une « proposition »

Lors d’une annonce surprise ce jeudi 25 décembre, la Russie a indiqué avoir fait une « proposition » à la France concernant l’affaire du chercheur. Cette annonce intervient alors que Paris et Moscou, dont les relations sont au plus bas, ont récemment manifesté publiquement leur intérêt à un contact direct entre les présidents Vladimir Poutine et Emmanuel Macron.

Condamné en octobre 2024 par un tribunal russe à trois ans de prison pour ne pas s’être enregistré en tant qu' »agent de l’étranger », le chercheur de 49 ans spécialiste de l’espace post-soviétique employé par une ONG suisse, avait reconnu les faits, mais plaidé l’ignorance.

En août, il avait aussi comparu devant un tribunal russe pour des accusations d' »espionnage » qui, si elles étaient confirmées, risqueraient d’alourdir considérablement sa peine.

L’enquête a été prolongée et il pourrait faire l’objet d’un nouveau procès pour espionnage fin février 2026, selon son avocat français. Laurent Vinatier avait déclaré en août ne s’attendre « à rien de bien, à rien de positif » après avoir appris ces nouvelles accusations.

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A Paris, trois femmes légèrement blessées à l’arme blanche dans le métro, l’agresseur en situation d’OQTF a été interpellé

Trois femmes ont été légèrement blessées à l’arme blanche dans le métro parisien, vendredi 26 décembre, par un homme qui a pris la fuite avant d’être interpellé dans le Val-d’Oise, a rapporté le parquet de Paris, sollicité par Le Monde et l’Agence France-Presse (AFP). Les agressions ont eu lieu aux stations desservies par la ligne 3 Arts-et-Métiers, République et Opéra, en plein centre de la capitale, « entre 16 h 15 et 16 h 45 », a expliqué à l’AFP l’opérateur public des transports parisiens (RATP).

L’auteur présumé, âgé de 25 ans, a pu être identifié « grâce aux images de vidéosurveillance ». Il était déjà connu des services de police pour divers faits dont des atteintes aux biens, a précisé le parquet. « La mise en œuvre de la géolocalisation de son téléphone portable a permis son interpellation en fin d’après-midi dans le Val-d’Oise », a ajouté le ministère public. Une enquête, confiée aux services de la sûreté régionale des transports (SRT), a été ouverte pour tentative d’homicide volontaire et violences volontaires avec arme.

Selon la préfecture de police de Paris, le suspect a été interpellé « à 18 h 55 par le service enquêteur assisté des policiers du Val-d’Oise ».

« De nationalité malienne, en situation irrégulière sur le territoire national, cet individu, déjà connu pour destruction de biens sous l’emprise de stupéfiants, a été écroué en janvier 2024 pour vol aggravé et agression sexuelle après avoir été condamné pénalement », rapporte le ministère de l’intérieur dans un communiqué.

Libéré en juillet, « il a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et a été placé en centre de rétention administrative », ajoute Beauvau. « L’éloignement n’ayant pu aboutir dans le délai légal des 90 jours, faute d’obtention d’un laissez-passer consulaire en l’absence de titre d’identité valide, il a été libéré avec assignation à résidence », poursuit-on, précisant qu’« il était actuellement sous mandat de recherche ».

Le ministre de l’intérieur, Laurent Nuñez, « regrette que l’éloignement du suspect n’ait pu aboutir » et assure que « la mobilisation se poursuit pour parvenir, en priorité, à éloigner des étrangers en situation irrégulière auteurs de troubles à l’ordre public ».

« Vigilance maximale » à l’approche du Nouvel An

Deux des « victimes ont été prises en charge par les secours et transportées en milieu hospitalier sans pronostic vital engagé », tandis que la troisième s’est présentée elle-même à l’hôpital, a fait savoir la préfecture de police. Le préfet de police de Paris, Patrice Faure, a précisé, sur le réseau social X, que les trois victimes « avaient été légèrement blessées ».

Un journaliste de l’AFP a vu sur un quai de la ligne 3 à la station République une femme prise en charge par une équipe de sécurité. Elle était blessée à la jambe et visiblement choquée.

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Laurent Nuñez a « félicit[é] les enquêteurs et policiers de la police régionale des transports de la préfecture de police qui ont identifié puis interpellé avec les policiers du Val-d’Oise l’auteur présumé (…), notamment grâce au réseau de caméras de vidéoprotection et à leur connaissance exceptionnelle du terrain ».

Le préfet de police de Paris a salué, de son côté, « la réactivité et la mobilisation de ses services », tout comme la présidente de la Région Ile-de-France, Valérie Pécresse, également présidente d’Ile-de-France Mobilités, le réseau de transport de la région parisienne. Des équipes de sécurité ont « été déployées en renfort pour sécuriser la ligne » 3, selon la RATP.

Le ministre de l’intérieur avait appelé, la semaine passée, les préfets et responsables de la sécurité à « une vigilance maximale » à l’approche des festivités du Nouvel An, selon un télégramme dont l’AFP a eu connaissance. En raison « du niveau très élevé de la menace terroriste » et « des risques de troubles à l’ordre public », le ministre a demandé aux responsables locaux de « renforcer les dispositifs de sécurité sur l’ensemble du territoire » en mettant en place « une présence visible et dissuasive ». Il avait notamment souhaité qu’« une attention spécifique » soit portée « aux transports en commun ».

Le Monde avec AFP

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La grippe continue à grimper, le pic probablement imminent dans les hôpitaux


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INFO BFM LYON. Explosion mortelle dans une usine à Saint-Fons: des syndicats appellent à un rassemblement en janvier devant le site

Une explosion a eu lieu ce lundi 22 décembre près de Lyon, dans l’usine de production de matériaux à base de silicone Elkem Silicones, un site classé Seveso (seuil haut). Une personne a été tuée.

La CGT et la FNIC (Fédération nationale des industries chimiques) appellent les salariés d’Elkem à se rassembler le 8 janvier devant le site de Saint-Fons, près de Lyon, après l’explosion de ce lundi 22 décembre, qui a fait un mort et trois blessés. Dans un communiqué, ils font part de leur solidarité avec les victimes et dénoncent les conditions de cet accident.

« Aucun travailleur ne doit quitter l’entreprise blessé ou pire encore », écrivent-ils.

« Sur un site classé Seveso seuil haut, au cœur de la Vallée de la chimie, un tel accident est intolérable. Il interroge lourdement sur l’organisation du travail, l’évaluation des risques, la maintenance et les choix de la direction en matière de prévention », poursuivent les syndicats.

« Nous traquerons sans relâche tous les responsables »

« Il n’y a pas de catastrophe industrielle mais bien des accidents industriels ayant trop souvent un lien avec les problèmes d’organisation du travail », dénoncent la CGT et la FNIC.

Ce lundi, une explosion, dont l’origine est encore indéterminée, s’est produite dans un atelier expérimental de cette usine chimique causant la mort d’un homme de 47 ans décédé le lendemain de ses brûlures. Trois autres personnes ont été blessées dont deux grièvement brûlés.

Le parquet de Lyon a ouvert une enquête pour blessures involontaires par personne morale et homicide involontaire par personne morale dans le cadre du travail, confiée à la Division de la criminalité organisée spécialisée (DCOS) et à la Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

« Nous traquerons sans relâche tous les responsables de ces blessés et de cette mort au travail », écrivent dans leur communiqué la CGT et la FNIC. Ces syndicats demandent ainsi « une enquête approfondie associant l’Inspection du travail, la CARSAT (Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail, NDLR) et les représentants du personnel ».

Qu’est-ce qu’un site classé Seveso ?

« Nous serons particulièrement vigilants quant aux mesures prises afin que de tels drames ne se reproduisent plus », assurent-ils. Il s’agit du deuxième décès enregistré en près de dix ans sur le site Elkem de Saint-Fons, après la mort en 2016 d’un homme tué dans l’incendie de fûts de silicone dans un entrepôt.

Des « politiques de réduction de coûts » dénoncées

Le directeur de l’usine, Jean-Pierre Lerat, avait avancé le jour du drame que la déflagration avait pu être causée par une émanation d’hydrogène « dans un atelier expérimental ».

Selon un porte-parole de l’entreprise, Guillaume Artois, l’explosion a eu lieu alors qu’une équipe réalisait une « manipulation relativement courante » dans cet atelier, qui répondait, selon lui, « aux dernières normes de sécurité ».

Les syndicats demandent « des effectifs suffisants, une formation sécurité de qualité, du temps réellement consacré à la prévention, à la maintenance, aux retours d’expérience et aux exercices d’urgence ». Dans leur communiqué, ils estiment également que « ces exigences sont incompatibles avec les politiques de réduction de coûts, de sous-traitance à outrance et d’intensification du travail qui dégradent la sécurité et exposent les salariés ».

Les syndicats CGT et CFDT avaient indiqué ce mercredi à l’AFP qu’ils allaient se constituer partie civile après cette explosion.

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Israël reconnaît l’Etat du Somaliland

Un homme brandit un drapeau du Somaliland devant le monument commémoratif de la guerre de Hargeisa, le 7 novembre 2024. LUIS TATO/AFP

Il ne sera peut-être plus possible de l’appeler le « pays qui n’existe pas ». Ce surnom, la République autoproclamée du Somaliland pourrait s’en défaire à la suite de la décision du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de reconnaître la souveraineté de cette région somalienne, vendredi 26 décembre, dans une vidéo publiée sur le réseau social X.

Cette décision marque un « jour historique » selon les mots du président somalilandais, Abdirahman Mohamed Abdullahi, dit « Irro », qui fait enfin progresser son pays vers l’espoir d’une reconnaissance internationale, un rêve qu’Hargeisa entretient depuis 1991, et ce, malgré la rare stabilité politique qui règne au sein de ce territoire grand comme la Tunisie. Le Somaliland n’était jusque-là officiellement reconnu que par Taïwan – qui, lui non plus, ne bénéficie pas du statut d’Etat souverain.

Lors de son court appel vidéo à son homologue somalilandais, Benyamin Nétanyahou a annoncé « croire en l’amitié entre les deux pays » et vouloir « étendre leur partenariat ». Le premier ministre israélien a également tenu à « remercier le Mossad [les services de renseignements israéliens] pour sa contribution à ce développement » car ce rapprochement s’avère stratégique à plusieurs égards pour l’Etat hébreu.

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La Russie a fait une « proposition » à la France sur le chercheur emprisonné Laurent Vinatier


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Deux skieurs sont morts dans des avalanches sur les stations de La Plagne et de Valloire, en Savoie

Deux personnes sont mortes, vendredi 26 décembre, dans deux avalanches dans les stations de ski de La Plagne et de Valloire, en Savoie, a-t-on appris auprès de la préfecture.

Un homme de 60 ans est mort vendredi soir après avoir été pris dans une avalanche vers midi, dans un secteur hors piste de la station de La Plagne, à environ 2 600 mètres d’altitude, selon la préfecture de Savoie. L’avalanche avait surpris six skieurs sur la face nord du sommet de Bellecôte, dans la vallée de la Tarentaise, a précisé à l’Agence France-Presse le peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de la Savoie.

A l’arrivée des secours, l’homme, en arrêt cardio-respiratoire, avait pu être ranimé, selon la préfecture. Ce guide de haute montagne, qui encadrait le groupe, est décédé à l’hôpital, d’après un communiqué de la station de La Plagne.

Parmi les six skieurs pris dans cette avalanche, une femme de 50 ans, dégagée « polytraumatisée », a également été héliportée vers le centre hospitalier de Grenoble, et deux autres personnes ont été légèrement blessées, selon le PGHM. L’opération de secours a mobilisé une quinzaine de secouristes et deux hélicoptères, selon la préfecture.

Une enquête judiciaire ouverte

Une autre avalanche s’est produite aux alentours de 16 heures dans le secteur de la commune de Valloire, au niveau de la combe de l’aiguille Noire, sous le mont Jovet, à 2 300 mètres d’altitude, a fait savoir la préfecture. Elle a emporté quatre personnes qui faisaient du ski de randonnée, dont l’une, en arrêt cardio-respiratoire, n’a pu être ranimée. Deux autres personnes ont été légèrement blessées, a ajouté la préfecture, précisant qu’une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet d’Albertville pour les deux avalanches mortelles.

Par ailleurs, dans les Hautes-Alpes, un skieur de randonnée italien de 40 ans a été grièvement blessé, vendredi matin, par une avalanche, à Montgenèvre, ont rapporté les gendarmes.

Parmi la douzaine de massifs que comptent les Alpes du Nord, seul celui de la Haute-Maurienne était classé au niveau 4 (fort) sur 5 pour le risque d’avalanches au-dessus de 2 100 mètres d’altitude, selon le dernier bulletin montagne de Météo-France. Les autres étaient classés au niveau 1 (faible) ou 2 (limité). Mais selon la préfecture de Savoie, ces derniers jours, le régime des retours d’est, très ventés, a généré de nombreuses plaques à vent très sensibles.

« Ce n’est pas parce que le risque avalanche est faible qu’il est nul. (…) On a du vent quotidiennement depuis une dizaine de jours », a souligné le PGHM de la Savoie, qui appelle le public à la prudence.

Le Monde avec AFP

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« Il ne faut pas lâcher »: les agriculteurs toujours en place dans le Sud-Ouest


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La Syrie annonce avoir tué un haut responsable de Daesh en coopération avec la coalition antijihadiste

Il y a une dizaine de jours, une attaque, attribuée par Washington à Daesh, avait coûté la vie à deux soldats et un interprète américains en Syrie. Les États-Unis avaient riposté en frappant des bastions de l’organisation terroriste.

Un haut responsable de Daesh a été tué par les forces syriennes, en coopération avec la coalition internationale antijihadiste menée par les États-Unis, a annoncé ce jeudi 25 décembre le ministère de l’Intérieur, quelques heures après l’arrestation d’un autre dirigeant de Daesh.

« Des unités spécialisées (…) ont mené une opération de sécurité à al-Bouwayda, près de Damas, en « coopération avec les services de renseignement généraux et en coordination avec les forces de la coalition internationale », précise le ministère dans un communiqué.

Celle-ci « a permis de neutraliser le terroriste Mohammad Chahada, connu sous le nom d »Abou Omar Chaddad’, considéré comme l’un des principaux dirigeants de Daesh en Syrie », a-t-il ajouté.

« Cette opération confirme l’efficacité de la coordination entre les agences de sécurité nationale et les partenaires internationaux. »

Des attaques ponctuelles

Cette annonce intervient quelques heures après que les autorités syriennes ont affirmé avoir arrêté, également en coopération avec la coalition, un autre haut responsable de Daeshdans la région de Damas, plus de dix jours après une attaque -attribuée par Washington à Daesh- qui avait coûté la vie à deux soldats et un interprète américains en Syrie.

Cette attaque du 13 décembre a été menée par un membre des forces de sécurité syriennes, mettant dans l’embarras le pouvoir à Damas, qui tente de se rapprocher des États-Unis et a rejoint récemment la coalition internationale antijihadiste. Washington avait annoncé la semaine dernière avoir riposté en frappant des bastions de Daesh, tuant au moins cinq de ses membres selon une ONG.

Pendant la guerre en Syrie, déclenchée en 2011 par des manifestations prodémocratie, Daesh s’était emparé de vastes territoires avant d’être défait par la coalition internationale en 2019. Malgré sa défaite, ses combattants repliés dans le vaste désert syrien continuent épisodiquement de mener des attaques.

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