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Une unité de police antidrones prend ses fonctions en Allemagne

Une nouvelle unité de la police allemande chargée de la lutte contre les incursions de drones sur les sites stratégiques a pris ses fonctions, mardi, en présence du ministre de l’intérieur, Alexander Dobrindt.

Basée à Ahrensfelde, dans la banlieue nord-est de Berlin, elle doit compter à terme plus de 130 personnes et « intervenir rapidement, partout » dans le pays, a déclaré le ministre. Parallèlement, les aéroports allemands vont être équipés par leurs exploitants et les administrations régionales de matériel de défense antidrones.

Les moyens utilisés incluent, entre autres, « le brouillage des signaux de commande, les technologies de détection », ainsi que « des drones intercepteurs », précise le ministère dans un communiqué. Il s’agit de « détecter, repousser, intercepter et, oui, abattre si nécessaire, car nous ne pouvons pas accepter que la menace hybride par drones reste un danger pour notre sécurité et s’intensifie », a souligné M. Dobrindt.

La police allemande avait déjà été autorisée à abattre des drones et un projet de loi doit permettre à l’armée d’intervenir contre leur intrusion dans l’espace aérien national. Un centre national de défense antidrones, qui doit faciliter la coordination entre services, doit être mis en place dans quelques jours.

Les survols de drones se sont multipliés, ces derniers mois, dans des aéroports et autres sites sensibles, notamment militaires, dans plusieurs pays d’Europe, où les soupçons s’orientent vers Moscou.

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Des heurts éclatent entre forces de l’ordre et manifestants venus s’opposer à l’abattage de 83 vaches dans une ferme du Doubs

Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène ce mardi dans une ferme du Doubs où plusieurs personnes étaient réunies contre l’abattaque de 83 vaches au nom de la lutte contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Deux personnes ont été interpellées.

Quelque 175 gendarmes ont été déployés et deux personnes interpellées ce mardi 2 décembre matin près d’une ferme du Doubs où des vétérinaires doivent abattre 83 vaches au nom de la lutte contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC).

En fin de matinée, les gendarmes ont procédé à des tirs de gaz lacrymogènes autour de l’étable, afin de dégager l’accès pour les services vétérinaires, a constaté un correspondant de l’AFP.

« C’était ultra-violent », a dénoncé Stéphane Galais, porte-parole national de la Confédération paysanne présent sur place. « On ne supporte plus cette façon autoritaire de gérer les crises sanitaires ».

Le propriétaire de l’exploitation avait lancé un appel, relayé par la Coordination rurale et la Confédération paysanne, à se rassembler dans l’exploitation située à Pouilley-Français, non loin de Besançon.

Un correspondant de l’AFP a dénombré plusieurs centaines de manifestants sur place ainsi que devant la mairie du village de 800 habitants. L’accès à la ferme est bloqué par les forces de l’ordre mais des manifestants parviennent à gagner l’exploitation en passant à travers champs.

Le préfet du Doubs, Rémi Bastille, a interdit lundi soir toute manifestation « aux abords de l’exploitation ».

300 manifestants face à 175 gendarmes

Dans un communiqué diffusé mardi matin, la préfecture a fait état de quelque 300 manifestants sur place, face à « un dispositif de sécurité composé de 175 gendarmes ».

« Si la majorité des manifestants sont calmes et pacifiques, les forces de l’ordre ont dû procéder à deux interpellations. Les forces de l’ordre ont effectué un tir défensif de LBD face à des tracteurs en mouvement vers des gendarmes, mais aucune personne n’a été blessée », selon le communiqué.

Le procureur de la République de Besançon, Cédric Logelin, a précisé que les deux personnes interpellées sont poursuivies pour « violence avec arme » et refus d’obtempérer par conducteur d’un véhicule.

Les organisations agricoles ont saisi le tribunal administratif de Besançon qui doit trancher à partir de 11h30 sur un recours contre l’abattage du troupeau. Les bovins ont été vaccinés contre la DNC mais une vache a été testée positive, ce qui doit entraîner d’après les services de l’État l’abattage de tout le troupeau.

La ministre de l’Agriculture « fait sourde oreille »

Céline Lhomme, l’épouse de l’exploitant, a déclaré à l’AFP que la vache en question « va très bien » et que les nodules qui sont apparus pourraient être liés à sa vaccination.

Elle a indiqué avoir demandé à la ministre de l’Agriculture Annie Genevard, originaire du Doubs, d’intervenir. « Elle fait la sourde oreille, on n’a aucune nouvelle », a regretté Céline Lhomme.

Selon Laurence Lyonnais-Meslob, porte-parole de la Confédération paysanne dans le Doubs et le Territoire de Belfort, les bovins « peuvent être mis sous surveillance, mis sous cloche et voir comment les choses évoluent, sachant que tous les élevages autour sont vaccinés. Le risque (de contagion) est très très très faible ».

À l’autre bout du pays, une centaine de manifestants ont tenté lundi de s’opposer à l’abattage, dans les Pyrénées-Orientales, d’environ 80 bovins dans le cadre de la lutte contre la DNC, avant d’être délogés par les gendarmes.

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La répression des fraudes met en garde contre les applications de suivi des règles, trompeuses et pas « fiables », elles collectent beaucoup de données personnelles et peuvent mener à « une grossesse non désirée »

La DGCCRF a passé au crible les neuf applications de suivi des règles les plus populaires. Outre qu’elles ne sont pas fiables et même parfois trompeuses, elles ont une tendance à collecter beaucoup de données personnelles.

Les applications couramment utilisées en France par les femmes pour suivre leurs règles et leur fertilité ne doivent pas être utilisées comme un moyen de contraception car elles exposent à un risque de grossesse non désirée, avertit, mardi 2 décembre, la Répression des fraudes après des contrôles.

En 2024 et 2025, la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) a contrôlé 9 applications « parmi les plus téléchargées » par les femmes, « dont les opérateurs sont situés en Europe, aux Etats-Unis et en Asie », précise-t-elle dans un communiqué.

« Ces applications, qui comportent souvent des fonctionnalités payantes, permettent de recueillir des données physiologiques et symptomatiques, et ainsi prédire les périodes des règles, voire de fertilité », et ont connu un « essor significatif » ces dernières années, poursuit-elle.

Au terme des contrôles, la DGCCRF alerte sur les risques liés à leur utilisation en tant que moyens de contraception car certaines « laissent croire qu’elles permettent une maîtrise de la conception ». La mention « tomber enceinte facilement et rapidement », ou la fonctionnalité « éviter de tomber enceinte », ont ainsi été relevées, « exposant ainsi les utilisatrices à un risque de grossesse non désirée ».

Car si ces applications peuvent être utiles au suivi des menstruations, elles ne sont pas des outils fiables d’aide à la conception et à la contraception, insiste la DGCCRF.

Autres dérives constatées: des clauses abusives et des pratiques commerciales trompeuses: certaines mentions « dédouanent le fournisseur de toute responsabilité concernant l’exactitude ou l’efficacité des informations fournies ».

Elles peuvent aussi encourager les consommatrices « à acheter des prestations immédiatement, en créant un sentiment d’urgence » (faux compte à rebours, promotions à durée limitée…) et ont aussi parfois recours à des biais manipulatoires, « conçus pour inciter les consommatrices à souscrire à un abonnement payant, supposé maximiser les chances de tomber enceinte ».

Des conditions générales d’utilisation non traduites ou peu lisibles ont aussi été notées.

Enfin, ces applications « collectent de nombreuses données personnelles, ce qui interroge sur leur utilisation et leur partage avec des partenaires commerciaux » – la CNIL en a été informée.

Or la majorité d’entre elles ne disposent pas du statut de dispositif médical, requis par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), gage que des conditions de sécurité et de performance sont remplies.

La DGCCRF a donc adressé quatre demandes de mise en conformité à la réglementation sur les dispositifs médicaux – l’une des applications s’est alors retirée du marché français -, et quatre injonctions visant à faire cesser sans délai des pratiques trompeuses.

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« Il n’y a plus de rencontre possible » : le difficile dialogue entre militants pacifistes israéliens et palestiniens

C’est de la haute couture militante qui peut sembler dérisoire face à la puissance des discours de haine. Une goutte d’eau dans un océan de ressentiment. Depuis vingt ans, l’organisation non gouvernementale Combattants pour la paix, l’un des rares mouvements binationaux entre Israël et Palestine, tente de former des jeunes militants pour mener des actions communes et non violentes. Ils sont ainsi quelques dizaines, Palestiniens et Israéliens âgés de 18 à 30 ans, à se rencontrer, à se parler, à échanger régulièrement dans le cadre d’« écoles de la liberté » pour promouvoir la paix dans une terre dite « sainte » où les plaies des guerres n’ont jamais le temps de se refermer.

Le chemin est long, même dans ce cadre militant privilégié où chacun s’est formé à l’histoire de l’autre. Les animateurs déploient une infinité de précautions lorsque se rencontrent pour la première fois les militants au cours d’un séjour en Cisjordanie occupée de deux jours, les 4 et 5 novembre, à Beit Jala d’abord, puis plus au sud, dans une ferme palestinienne menacée par des colons juifs de Goush Etzion. « C’est notre premier séminaire après deux ans de guerre. Il faut que chacun se sente en sécurité pour s’exprimer librement », explique Nimala Kharoufeh aux 25 jeunes autour d’elle en utilisant les armes du théâtre et de l’improvisation pour faire se rencontrer les regards et les mots. Sur des notes adhésives, les participants ont écrit leurs peurs et leurs doutes. Anonymement, pour que chacun s’exprime sans crainte d’être jugé. « Je suis terrifié à l’idée d’être arrêtée à un checkpoint », dit une Palestinienne. « Ma crainte, c’est d’être confronté à un défenseur de l’armée israélienne », explique sa voisine. « Ma douleur, c’est l’absence d’espoir », raconte un Israélien.

Nimala Kharoufeh, responsable des Palestiniens de l’association Combattants pour la paix. Ici, dans une ferme palestinienne menacée par des colons juifs de Goush Etzion, en Cisjordanie, le 8 novembre 2025. LAURENCE GEAI/MYOP POUR « LE MONDE » Israéliens et Palestiniens, membres de l’association Combattants pour la paix, se rendent dans une ferme palestinienne menacée par des colons juifs de Goush Etzion, en Cisjordanie, le 8 novembre 2025. LAURENCE GEAI/MYOP POUR « LE MONDE »

L’association, dont les discours correspondent à ceux de la gauche israélienne antioccupation, ne prétend pas être représentative ni neutre. « Côté israélien, plus de 90 % de nos participants se définissent eux-mêmes comme venant de la gauche radicale. Ils savent qu’ils ne sont pas majoritaires, loin de là, dans la société », note Ido Even Paz, le directeur de « l’école de la liberté » installée à Tel-Aviv. Les prises de position de l’ONG sur les crimes de guerre dans la bande de Gaza ou sur le nettoyage ethnique en Cisjordanie la placent aux franges de la vie politique. L’essentiel de ses ressources provient d’ailleurs de financements étrangers, notamment de l’Union européenne. « En tant que mouvement non violent de Palestiniens et d’Israéliens, nous sommes unis contre les horreurs commises contre l’autre en notre nom », promeut l’organisation.

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« Une alternative » à l’hégémonie du dollar: BNP Paribas va lancer un stablecoin euro dès 2026 avec d’autres banques européennes

Avec 9 banques européennes, BNP Paribas entend lancer dans la deuxième moitié de 2026 un stablecoin euro pour faire face à l’émergence des stablecoins dollars.

BNP Paribas a annoncé mardi rejoindre un consortium de banques européennes qui entend lancer dans la deuxième moitié de 2026 un stablecoin, une cryptomonnaie présentée comme stable car adossée aux devises traditionnelles, en l’occurence l’euro.

« Cette initiative offrira une alternative européenne au marché des stablecoins adossés au dollar », pour l’heure hégémoniques, affirme BNP Paribas dans un communiqué. La banque française y voit un moyen de renforcer « l’autonomie stratégique de l’Europe dans le domaine des paiements », en particulier face à la puissance américaine.

Là où l’usage du bitcoin dans les paiements du quotidien est freiné par la fluctuation incessante de sa valeur – elle a perdu 16% depuis le 1er janvier 2025 -, les stablecoins espèrent trouver un usage concret en indexant leur valeur à celle d’une devise traditionnelle solide, comme le dollar ou l’euro, généralement bien plus stables.

UniCredit et ING font partie du consortium

Neuf autres banques européennes, parmi lesquelles l’italienne UniCredit ou la néerlandaise ING, avaient annoncé la création de ce consortium fin septembre. Baptisée Qivalis, l’entité basée à Amsterdam a indiqué mardi travailler à l’obtention de son agrément d’établissement de monnaie électronique en vue de lancer ce stablecoin au deuxième semestre 2026. Dans le domaine, le retard de l’Union européenne contraste avec le volontarisme hégémonique des Etats-Unis de Donald Trump.

Presque tous les stablecoins déjà existants sont adossés au dollar. Le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau avait brandi fin septembre « le risque pour l’Europe (…) d’être demain confrontée à une quasi-monnaie, le stablecoin en dollars, de nature privée et émise par des acteurs non européens ».

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Le Musée des beaux-arts de Gand refuse de restituer une œuvre volée à un marchand juif

« Portrait de l’évêque Antonius Triest » (après 1630), de Gaspar De Crayer. MSK GAND

Le Musée des beaux-arts (MSKG) et la ville de Gand, en Belgique, ont créé une vive polémique en décidant, jeudi 20 novembre, de ne pas restituer aux héritiers d’un marchand et collectionneur juif, Samuel Hartveld, une œuvre qui lui avait été dérobée lors de la seconde guerre mondiale par les forces d’occupation allemandes. L’European Jewish Association et le Centre juif d’information et de documentationont diffusé, lundi 24 novembre, un communiqué évoquant leur « profonde indignation ».

En août 1940, Samuel Hartveld, 62 ans, embarquait, à Lisbonne, sur un bateau à destination de New York, laissant derrière lui, à Anvers, en Belgique, sa galerie d’art qui contenait 66 tableaux et une vaste bibliothèque. Parmi ces œuvres se trouvait le Portrait de l’évêque Antoine Triest, du peintre Gaspar De Crayer (1584-1669), un artiste anversois connu pour ses retables et ses portraits.

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Arnaques au péage: attention à ces SMS frauduleux qui se multiplient


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Cambriolage du Louvre : tous les membres présumés du commando désormais mis en examen

La fenêtre par laquelle les voleurs se sont introduits dans le Musée du Louvre. Ici, le 20 octobre 2025. BENOIT TESSIER/REUTERS

Et de quatre. Le commando du casse du Louvre semble désormais au complet derrière les barreaux. Le quatrième membre présumé a été mis en examen, vendredi 28 novembre, a confirmé le parquet de Paris. Dans l’attente de son passage devant le juge des libertés et de la détention, différé à mardi à la demande de ses avocates, l’homme de 39 ans a été incarcéré.

Il est soupçonné d’être l’un des deux complices restés à l’extérieur du musée, quand deux autres grimpaient au balcon du Louvre dans la nacelle d’un camion élévateur désormais célèbre dans le monde entier, tant la scène, immortalisée par les touristes aux alentours, a circulé sur les réseaux sociaux depuis le cambriolage, le 19 octobre.

Sur une première image, deux hommes encagoulés et portant des gilets jaunes se hissent ainsi en plein jour jusqu’à l’une des fenêtres extérieures du Louvre, dans ce qui ressemble à un simple monte-charge de déménagement. Sur une autre vidéo, on peut les voir redescendre quelques minutes plus tard, presque au ralenti, pour rejoindre leurs complices à l’extérieur et s’enfuir sur des scooters. A l’aide de simples disqueuses, ils viennent de dérober huit joyaux de la couronne de France dans la galerie d’Apollon, dont le diadème de l’impératrice Eugénie aux près de 2 000 diamants. Un butin estimé à 88 millions d’euros, que les enquêteurs recherchent toujours, tout comme les commanditaires de ce vol spectaculaire.

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