Tour d’Espagne arrêté par des manifestations pro-Palestine: le gouvernement espagnol annonce que plus de 100.000 personnes étaient présentes{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Gaza: « On entend parfois des détonations à 50 mètres d’une clinique MSF », raconte Jacob Granger, coordinateur d’urgence de Médecins Sans Frontières à Gaza
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« Le Qatar est le seul pays capable d’être un médiateur concernant Gaza »: le secrétaire d’Etat américain veut demander au pays de jouer le rôle de médiateur
Drapeaux palestiniens sur les mairies: « Le laisser flotter pendant une journée, c’est quelque chose de très légitime », assure Roger Vicot, député PS du Nord
La ministre de la culture démissionnaire Rachida Dati, à Paris, le 10 septembre 2025. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
Renvoyée en procès pour « corruption » et « trafic d’influence » dans l’affaire Renault, en lien avec l’ex-PDG de Renault-Nissan Carlos Ghosn, Rachida Dati va devoir s’expliquer dans le cadre d’une autre affaire judiciaire. Selon des informations de l’AFP, confirmées au Monde par le ministère public, une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris concernant des bijoux que la ministre de la culture démissionnaire aurait omis de déclarer à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Les investigations ont été confiées à la brigade financière et anticorruption de la police judiciaire de la Préfecture de police, indique le parquet de Paris.
Cette procédure pour « l’éventuelle infraction de non-déclaration de bijoux à la HATVP » découle de deux signalements émis en juin par le sénateur socialiste de Paris Rémi Féraud ainsi que par Raymond Avrillier, un ancien adjoint au maire de Grenoble, déjà en partie à l’origine de l’enquête sur les sondages de l’Elysée sous Nicolas Sarkozy. En avril, Libération avait identifié 19 bijoux de luxe, pour un montant total de 420 000 euros, détenus depuis 2017 par Mme Dati. Or, relevait le quotidien, elle ne les avait pas mentionnés dans ses dernières déclarations de ministre à la HATVP, ni en 2024 ni en 2025. Chaque pièce dont la valeur est supérieure à 10 000 euros doit pourtant, en principe, être déclarée.
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Invité de Bartoli Time ce dimanche sur RMC, Martin Fourcade s’est exprimé sur une éventuelle reconversion dans la politique. Si le sextuple champion olympique n’a « pas du tout d’aspiration dans ce monde-là », il ne ferme pas totalement la porte. Surtout si un certain Teddy Riner décroche son téléphone.
Verra-t-on d’autres anciens sportifs dans le gouvernement dans les années à venir? Si Laura Flessel, Roxana Maracineanu, David Douillet ou Amélie Oudéa-Castéra ont tous occupés le poste de ministre des Sports, Teddy Riner a récemment affirmé une possibilité de reconversion dans la politique à l’issue de sa carrière de judoka. « Je suis sportif de haut niveau, et on a tendance souvent à nous dire qu’on n’a pas à prendre la parole. Je suis citoyen avant tout, donc j’ai le droit de dire ce que j’aimerais pour mon pays. Si demain je rentre en politique, ce n’est pas pour avoir un poste de ministre, c’est pour avoir un rôle qui fait changer des choses. Pour moi le meilleur rôle, ce serait président« , a affirmé le quintuple champion olympique auprès de l’AFP samedi.
« C’est un univers qui ne me plaît pas forcément »
Autre légende du sport français, Martin Fourcade a-t-il les mêmes aspirations politiques que le judoka? Son discours est plus nuancé. « Je le fais avec le comité international olympique, avec l’évènement que j’organise depuis 2019 à Annecy (le Martin Fourcade Nordic Festival a été annulé cette année, ndlr) et bientôt j’espère dans une autre belle ville autour du biathlon », a confié l’ex-biathlète dans Bartoli Time sur RMC ce dimanche. « Je le fais à mon échelle, avec mes valeurs, avec l’envie de partager autour de ma passion du ski et de la montagne. Je n’ai pas d’aspiration politique. C’est un univers qui ne me plaît pas forcément. Aujourd’hui, je n’ai pas du tout d’aspiration dans ce monde-là. Il en faut qu’il fasse des choses bien pour notre pays, pour faire avancer la société dans le bon sens. »
Mais si la légende du biathlon recevait un coup de fil de Riner, que ferait-il? « Si Teddy Riner me propose, je réfléchirai à la question. C’est une réponse très politique », a-t-il glissé dans un sourire.
Un biathlète au palmarès XXL
Considéré comme l’un des trois « GOATS » du biathlon avec Ole Einar Bjorndalen et Johannes Boe, Martin Fourcade compte sept breloques olympiques (dont six en or), 28 médailles mondiales (dont 13 titres), 84 victoires individuelles et sept gros globes de cristal. Retraité depuis la fin de l’hiver 2020, l’ex-biathlète a été président de la commission des athlètes des Jeux olympiques de Paris 2024, et est devenu membre du CIO pour un mandat de huit ans, en étant élu par ses pairs à la commission des athlètes de l’institution internationale le 17 février 2022 lors des Jeux d’hiver de Pékin. Si son nom avait circulé pour prendre les rênes du COJOP pour les JO 2030 dans les Alpes françaises, il a finalement renoncé.
Alors qu’il était encore sur les pistes, sa carabine sur le dos, Martin Fourcade a lancé en 2019 son propre show de biathlon estival, le Martin Fourcade Nordic Festival. Après quatre éditions, le maire d’Annecy François Astorg a décidé de désengager la ville du MFNF afin de préserver le bord du lac au Pâquier, lieu où se déroulait les courses de ski-roues (biathlon et ski de fond).
Une femme et ses enfants, survivants du séisme, attendent les secours dans le village de Wadir, dans l’est de l’Afghanistan, le 2 septembre 2025. NAVA JAMSHIDI/AP
Depuis la première secousse du séisme survenu dans la nuit du 31 août, la terre n’a pas cessé de trembler dans l’est de l’Afghanistan. Selon le gouvernement taliban, le bilan s’élève à 2 205 morts et 3 640 blessés. D’après l’ONU à Kaboul, ces chiffres sont toujours « provisoires », les victimes n’ayant pas toutes été retrouvées sous les décombres des maisons détruites dans des zones difficiles d’accès.
De plus, selon les témoignages recueillis par Le Monde auprès d’organisations humanitaires déployées sur le terrain et de rares responsables de santé afghans qui osent s’exprimer, les pertes humaines auraient été aggravées par le manque d’organisation et la priorité donnée par le régime à la religion sur l’efficacité des secours et l’accès aux soins médicaux, notamment pour les femmes.
Mardi, une équipe de la Croix-Rouge internationale (CICR) s’est rendue dans le village de Massoud, non loin de Mazar Dara, dans le district de Nurgal de la province de Kunar, la plus touchée par le séisme. Après quatre heures de routes très accidentées, elle a découvert un paysage dévasté. « Les 85 maisons du village sont par terre, témoigne Achille Després, du CICR. Sur les 1 000 habitants, une soixantaine est morte et 130 sont blessés. »
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Plus de 100.000 manifestants propalestiniens se sont rassemblés lors de la dernière étape de la Vuelta, le Tour d’Espagne cycliste, ce dimanche 14 septembre, obligeant les organisateurs à l’interrompre. Depuis, le gouvernement et l’opposition se déchirent sur le sujet.
La N.3 du gouvernement espagnol a salué la « leçon donnée au monde entier » par les 100.000 manifestants propalestiniens qui ont interrompu la dernière étape du Tour d’Espagne cycliste, ce dimanche 14 septembre.
C’est « une honte internationale » pour le pays dont l’exécutif est responsable, a indiqué, de son côté, le leader de l’opposition de droite.
« La société espagnole ne tolère pas que le génocide à Gaza soit normalisé dans des événements sportifs ou culturels », a déclaré sur les réseaux sociaux la ministre du Travail Yolanda Diaz, issue de la plateforme d’extrême gauche Sumar. « Notre société est un exemple de dignité ».
« Leçon donnée au monde entier »
Elle a aussi salué sur Instagram la « leçon donnée au monde entier » par la société espagnole, estimant qu' »Israël ne peut participer à aucun événement tant qu’il continue de commettre un génocide » dans la bande de Gaza.
Même son de cloche chez le ministre de la Fonction publique Oscar Lopez, qui a directement répondu au leader de l’opposition sur le réseau X.
« Que le peuple de Madrid manifeste contre un génocide ne porte pas atteinte à l’image de l’Espagne. Au contraire.(…) Je le regrette pour La Vuelta, mais je le regrette encore plus pour les centaines de milliers de Palestiniens qui sont en train d’être massacrés », a-t-il estimé.
Le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez, une des voix les plus critiques en Europe sur la guerre menée par Israël à Gaza, n’avait pas réagi dans la soirée de dimanche après les incidents qui ont entraîné l’interruption définitive de la course en fin d’après-midi, mais il avait fait part dimanche matin de son « admiration » pour les manifestants tout en disant son « respect » des sportifs.
« Une honte internationale relayée dans le monde entier »
« Le gouvernement a non seulement permis, mais aussi encouragé l’interruption de la Vuelta, provoquant ainsi une honte internationale relayée dans le monde entier », a réagi dans la soirée sur le réseau social X Alberto Nunez Feijoo, le chef de file du Parti populaire (PP, droite), après la fin de la course, perturbée quasi quotidiennement par des manifestations visant l’équipe Israel-Premier Tech depuis son arrivée sur le territoire espagnol.
« Le chef du gouvernement est fier du comportement de quelques-uns qui, pour manifester leur soutien à Gaza, ont lancé des barrières sur la police nationale (…) Pas moi. Je défends la liberté d’expression tant qu’elle n’implique ni violence ni troubles », a-t-il poursuivi.
L’annonce avait été faite quelques instants plus tôt par le président des Etats-Unis, Donald Trump, au cours d’une émission sur Fox News. « Je pense, avec un haut degré de certitude, que nous l’avons en détention », a déclaré le président américain, ajoutant que « quelqu’un de très proche l’a[vait] dénoncé ».
Un suspect, sans affiliation politique connue, dénoncé par un ami de la famille
Agé de 22 ans et originaire de l’Utah, Tyler Robinson a été signalé aux autorités par un ami de la famille. Au cours de sa conférence de presse, le gouverneur a annoncé qu’« un membre de la famille » du suspect a joint un ami, lequel a ensuite contacté les autorités pour les informer que « Robinson leur avait avoué ou laissé entendre son implication » dans l’assassinat. Il a été appréhendé jeudi soir après trente-trois heures de traque, selon le directeur de la police fédérale (FBI), Kash Patel.
Donald Trump a déclaré sur la chaîne Fox News que « quelqu’un de très proche » du tueur présumé « l’avait dénoncé », ajoutant que le père du suspect lui-même ainsi qu’un pasteur avaient joué un rôle.
D’après son entourage, M. Robinson n’avait pas d’affiliation politique connue. Mais il s’est politisé ces dernières années et avait parlé de Charlie Kirk au cours d’un dîner, disant qu’il viendrait à l’université, et expliquait que l’influenceur conservateur « était plein de haine et répandait la haine », a souligné Spencer Cox.
Il a fait ses études primaires et secondaires dans la ville de Saint George et n’a pas de casier judiciaire dans l’Etat, selon les médias américains. « Pendant trente-trois heures, j’ai prié pour que (…) ce ne soit pas l’un d’entre nous, mais quelqu’un venu d’un autre Etat ou d’un autre pays », a confié vendredi le gouverneur au sujet de Tyler Robinson. « Mais cela s’est passé ici, et c’était l’un d’entre nous », a-t-il reconnu.
Des inscriptions antifascistes sur les munitions
Le gouverneur Spencer Cox a également annoncé que des messages antifascistes avaient été retrouvés sur les munitions découvertes après l’assassinat. Sur une cartouche qu’il n’a pas utilisée était gravé « Bella ciao », titre d’une chanson italienne adoptée par la résistance antifasciste pendant la seconde guerre mondiale. Sur une autre figurait l’inscription « Hé, fasciste, attrape ! ». « Je pense que cela se passe de commentaires », a assuré le gouverneur.
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Des images de vidéosurveillance de l’université Utah Valley montrent Tyler Robinson, selon le gouverneur, arrivant près du campus dans une Dodge Challenger mercredi matin, environ quatre heures avant l’attaque, toujours selon M. Cox.
Donald Trump s’en prend à « la gauche radicale »
La dépouille de Charlie Kirk a été transportée jeudi dans l’avion du vice-président J. D. Vance vers Phoenix, dans l’Arizona, le siège de son association Turning Point USA qu’il avait cofondée en 2012, à l’âge de 18 ans, et qui est devenue en une décennie le plus important groupe de jeunes conservateurs aux Etats-Unis.
Depuis l’assassinat, l’influenceur et podcasteur trentenaire, très présent sur les réseaux sociaux avec des millions d’abonnés sur plusieurs plateformes, est qualifié de « martyr » par les conservateurs américains et l’extrême droite européenne.
Un terme repris par sa propre épouse, Erika Kirk, dans une déclaration diffusée en direct sur les réseaux sociaux vendredi soir et émaillée de multiples références religieuses.
« Ceux qui font le mal et sont responsables de l’assassinat de mon mari n’ont aucune idée de ce qu’ils ont fait (…) Vous n’avez aucune idée de ce que vous venez de déclencher dans ce pays tout entier, dans ce monde. (…) Vous n’avez aucune idée du feu que vous avez allumé (…). Les larmes de cette veuve vont résonner dans le monde entier comme un cri de guerre », a-t-elle déclaré, debout à côté de la chaise depuis laquelle son mari animait son podcast.
Donald Trump, qui a prévu d’assister à ses funérailles, avait dès le jour du drame mis en cause la responsabilité de la « gauche radicale » avant d’appeler ses partisans à la retenue. « Il militait pour la non-violence. C’est de cette manière que je voudrais que les gens répondent », a déclaré jeudi le président républicain, après avoir annoncé qu’il remettrait à la victime de 31 ans la médaille présidentielle de la liberté, la plus haute distinction civile américaine, à titre posthume.
Mais vendredi sur Fox News, le président américain, lui-même visé par deux tentatives d’assassinat lors de la dernière campagne électorale, a lancé une attaque en règle contre les « extrémistes » de gauche et ses cibles de prédilection, dont l’ancien président Joe Biden et le milliardaire George Soros. Le gouverneur républicain de l’Utah, Spencer J. Cox, a lui estimé que l’assassinat de M. Kirk « porte atteinte aux fondements mêmes de ce que nous sommes ».
Tour d’Espagne arrêté par des manifestations pro-Palestine: « Je veux saluer la mobilisation du peuple espagnol », indique Manon Aubry, députée européenne (LFI){if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
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Devant un panneau publicitaire pour Dior dans un centre commercial, à Pékin, le 28 décembre 2024. JADE GAO / AFP
En Chine, l’essor des achats via les plateformes vidéos, les messageries et les applis de paiement a fragilisé la protection des données des clients. Les marques de luxe, même bien implantées, peinent à s’y adapter.
Le 7 mai, les clients chinois de Dior (LVMH) ont reçu un SMS les alertant d’une vaste fuite de données incluant le nom, le numéro de téléphone, leur adresse postale mais aussi leur historique d’achats et préférences de consommation. L’entreprise venait de subir une cyberattaque majeure ciblant ses divisions mode et accessoires en Chine et en Corée du Sud. Dior avait aussitôt lancé une enquête et signalé l’incident aux autorités, tout en assurant avoir pris des mesures pour renforcer la sécurité de ses systèmes informatiques. Mais, mardi 9 septembre, la télévision d’Etat CCTV a révélé que la sécurité publique avait, au terme d’une longue enquête, constaté trois infractions à sa loi sur la protection des informations personnelles, en vigueur depuis novembre 2021, et imposé des sanctions administratives à l’intéressé.
Selon les autorités, Dior Chine a transmis des données personnelles au siège français « sans avoir passé l’évaluation de sécurité de sortie des données, ni conclu un contrat standard de sortie des données ou obtenu une certification de protection des données personnelles ». Ensuite, Dior Chine n’aurait pas informé ses clients « de manière adéquate » sur la façon dont ses données allaient être utilisées par ledit siège français. Enfin, Dior n’aurait pas crypté ses données comme l’exige la réglementation.
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Manifestation anti-immigration à Londres: pour Henri Guaino, ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, « cette manifestation est imaginable en France et dans toute l’Europe »{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
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