Oona Chaplin, actrice tout feu tout flamme dans « Avatar »

Oona Chaplin lors de l’avant-première d’« Avatar. De feu et de cendres », de James Cameron, au BFI IMAX Waterloo à Londres, le 11 décembre 2025. DAVE BENETT/WIREIMAGE/GETTY IMAGE

Pour veiller à ce que le planning des interviews reste dans les clous, Disney a dépêché ses meilleurs contremaîtres, mais Oona Chaplin s’en contrefiche. Bravant leur regard placide et leur horloge implacable, l’actrice hispano-britannique prend le temps de décrire, par le menu, sa recette signature. « J’aime cuisiner le poisson – sole, bar ou morue – avec du lait de coco, des oignons rouges, du basilic, de la mangue…, énumère-t-elle, sourire aux lèvres. Et un peu d’ananas ! »

Tandis qu’elle fait siffler le « s » final, les serpents dorés qu’elle porte aux oreilles semblent onduler d’aise. Simple illusion d’optique, à la vérité. Une de plus, direz-vous : à 39 ans, la comédienne incarne Varang, la « méchante » d’Avatar. De feu et de cendres, troisième volet de la saga à gros budget et à grands effets de James Cameron, en salle depuis mercredi 17 décembre.

Nul besoin de lui forcer la main, l’actrice opère d’elle-même le rapprochement entre le cinéaste canadien et son grand-père maternel, Charlie Chaplin (1889-1977), qu’elle n’a jamais connu. « Ce sont deux génies qui ont repoussé les limites technologiques du cinéma, pour explorer le cœur et le cerveau humains. » En cette matinée de décembre, le ballet promotionnel, réglé au cordeau, occupe une aile entière de l’hôtel Le Bristol, au cœur des beaux quartiers parisiens.

Il vous reste 82.57% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Source

Loi spéciale: le Premier ministre Sébastien Lecornu a lancé les consultations


Loi spéciale: le Premier ministre Sébastien Lecornu a lancé les consultations{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

Sur le même sujet

3:41

LE CHOIX D’ELSA VIDAL: Pékin taxe les produits laitiers européens, un bras de fer s’engage avec la Chine

5:21

LE CHOIX D’YVES THRÉARD – Budget: le 49.3, seule option pour sortir de l’impasse

1:05

En l’absence de budget adopté, « 80.000 dossiers déposés verront leur instruction retardée », décrit Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement

1:49

Pour Roland Lescure, ministre de l’Économie, la loi spéciale adoptée en Conseil des ministres est « un service minimum qui permet de gagner du temps »

2:40

« Le compromis est à portée de main » assure Amélie de Monchalin, ministre de l’Action et des Comptes publics

0:38

Budget 2026: « La loi spéciale est une solution temporaire, c’est un palliatif, c’est un sparadrap », déclare Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement

0:36

« Une loi spéciale n’est pas un budget et ne règlera pas les problèmes du déficit », affirme le président de la République

22:50

Marschall Truchot : Audiovisuel public, une commission d’enquête l’égitime ? – 22/12

2:38

Marschall Truchot : Budget, les consultations se poursuivent à Matignon – 22/12

6:20

Marschall Truchot : Explosion/Rhône, incendie maîtrisé, confinement levé – 22/12

1:24

Budget 2026 : un conseil des ministres se tient à l’Élysée pour présenter la loi spéciale

1:55

Marschall Truchot : Émile, les enquêteurs de retour au Haut-Vernet – 22/12

5:51

Marshall Truchot : Vigilance crues, ça vire au rouge dans l’Hérault – 22/12

4:25

SIGNÉ CONSIGNY – Commission d’enquête sur l’audiovisuel public: « Gagner plus de 15.000 euros dans le secteur public, ça me paraît beaucoup » estime Charles Consigny

appendScript(« /assets/v17/js/videoPlayer.891ee547d07abbb206ad.js »));]]>s());]]>{window.tagCoScriptLoaded=true};]]> appendScript(‘https://synchrobox.adswizz.com/register2.php’));]]> appendScript(‘https://delivery-cdn-cf.adswizz.com/adswizz/js/SynchroClient2.js’));]]>

Source

Budget 2026 : Sébastien Lecornu remet la pression sur les parlementaires pour éviter l’enlisement

Le premier ministre, Sebastien Lecornu, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 17 décembre 2025. JULIEN MUGUET / HANS LUCAS

Sébastien Lecornu pensait consacrer son vendredi 19 décembre aux dossiers brûlants du monde agricole et à leurs représentants syndicaux reçus à Matignon. Mais les affres du débat budgétaire ont une fois de plus bousculé la hiérarchie des priorités Rue de Varenne.

Les deux rapporteurs généraux du budget, Jean-François Husson et Philippe Juvin (Les Républicains, LR), sont arrivés avec une mine grave devant les journalistes, vendredi peu avant 10 heures. Une heure seulement après le début d’une commission mixte paritaire (CMP), réunissant sept sénateurs et sept députés, ils ont entériné l’échec des négociations sur le projet de loi de finances (PLF) pour 2026. « Nous étions prêts à un compromis mais il n’était pas assuré que le texte aurait pu avoir le vote positif de l’Assemblée et du Sénat », a regretté Philippe Juvin, député LR des Hauts-de-Seine.

Une annonce lourde de conséquences : pour la deuxième année consécutive, l’exécutif ne parviendra pas à doter la France d’un budget dans les délais prévus par la Constitution. La navette parlementaire va se poursuivre au-delà du 31 décembre, poussant le gouvernement à recourir à une loi spéciale afin d’assurer la continuité de l’Etat.

Il vous reste 86.28% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Source

Municipales à Paris: Raphaël Glucksmann s’affiche en soutien d’Emmanuel Grégoire et dénonce « le trumpisme » de ses adversaires

À Paris, socialistes, communistes et écologistes porteront une liste commune de la gauche dans la capitale dès le premier tour des élections municipales. Cette alliance menée par Emmanuel Grégoire est aussi soutenue par Place publique, le parti fondé par Raphaël Glucksmann.

L’enjeu de la campagne des municipales à Paris sera « le choix entre le progrès et le trumpisme conservateur », a estimé ce dimanche 21 décembre l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, dont le parti Place publique participe à la coalition de gauche menée par le socialiste Emmanuel Grégoire.

Lors d’une déambulation dans le 5e arrondissement de Paris avec le candidat PS qui brigue la succession d’Anne Hidalgo, Raphaël Gluscksmann a dénoncé chez ses adversaires « un rapport à la politique qui est fait de violence, de brutalité ».

« Ce rapport-là, on le rejette. La démocratie est en train de s’abîmer par des discours extrêmement durs et des attaques très violentes en permanence: ce n’est pas notre manière de faire de la politique et on va l’assumer », a poursuivi celui dont la liste aux élections européennes était arrivée à la troisième place en 2024.

« On nous expliquera qu’à l’heure des réseaux sociaux, ce qu’il faut, c’est faire du Trump. Eh ben non. En fait, on va montrer qu’il y a autre chose dans la vie politique et que cette autre chose peut gagner », a encore insisté Raphaël Glucksmann.

« Le choix du rassemblement » contre Rachida Dati

Emmanuel Grégoire a pour sa part estimé que la campagne serait « un choc de projets » face à la candidature de Rachida Dati, maire du 7e arrondissement et candidate malheureuse à la mairie centrale en 2020, soutenue par Les Républicains et le Modem.

Après la conclusion cette semaine d’un accord dès le premier tour avec le PCF, Place publique et, surtout, les Écologistes -ces derniers faisaient traditionnellement cavalier seul aux municipales à Paris avant le second tour-, Emmanuel Grégoire a défendu « le choix du rassemblement (pour) créer une dynamique d’union à gauche et (…) porter un projet qui soit très innovant ».

« Ce n’est pas faire fi de ses singularités et parfois des différences », a-t-il assuré, reconnaissant avoir « parfois des désaccords » avec les autres formations de gauche et les « assumant ».

Source

Victor Wembanyama confirme son bon retour de blessure avec un match à 26 points

Victor Wembanyama contre les Hawks ; à Atlanta, en Géorgie, le 19 décembre 2025. BRETT DAVIS / IMAGN IMAGES / REUTERS CONNECT

Vingt-quatre heures après un succès face à Washington où il n’avait joué que dix-sept minutes, Victor Wembanyama, une nouvelle fois en sortie de banc par prudence depuis son retour de blessure, a été brillant, vendredi 19 décembre, avec 26 points (10 tirs réussis sur 15), 12 rebonds, 3 passes et 2 contres en seulement vint et une minutes de jeu.

Le Français a largement contribué au succès écrasant des San Antonio Spurs sur le parquet des Atlanta Hawks, 126 à 98. Les Texans n’ont laissé aucune chance aux locaux : ils menaient de 24 points à la pause, et ont enchaîné un cinquième succès de rang en saison régulière pour prendre la 3e place de la Conférence Ouest, avec 20 victoires et 7 défaites.

San Antonio a seulement été freiné mardi, battu en finale de la Coupe NBA à Las Vegas par les New York Knicks.

Lire aussi | Victor Wembanyama et les Spurs échouent en finale de la Coupe NBA face aux New York Knicks

Seulement devancé par les légendes Ewing et Mutombo

« Wemby », qui comptait déjà 12 points à la mi-temps, a réussi un enchaînement avec deux blocks et un dunk en « alley-oop » à une main lors du 3e quart-temps. Il disputait son quatrième match depuis son retour de blessure au mollet, qui l’a tenu éloigné des parquets pendant douze rencontres.

Le Français âgé de 21 ans a validé un 100e match de suite avec au moins un contre. Son dernier match de saison régulière sans contre remonte au 10 janvier 2024, contre les Pistons de Detroit. Seuls deux joueurs ont fait mieux dans l’histoire de la NBA : Patrick Ewing (145) et Dikembe Mutombo (116).

Le Monde avec AFP

Réutiliser ce contenu

Source

Pierre Moscovici estime que Jean-Luc Mélenchon est le « meilleur allié » du Rassemblement national pour 2027

Le Premier président de la Cour des comptes, qui va quitter ses fonctions le 31 décembre, estime ce dimanche que Jean-Luc Mélenchon serait « écrasé », à la présidentielle, par Marine Le Pen ou Jordan Bardella, en cas de duel LFI-RN au second tour.

Pierre Moscovici, qui quitte le 31 décembre sa fonction de Premier président de la Cour des comptes, a estimé ce dimanche 21 décembre que le chef des Insoumis Jean-Luc Mélenchon était « le meilleur allié du Rassemblement national » à la prochaine élection présidentielle de 2027.

En cas de second tour face à Marine Le Pen ou Jordan Bardella, Jean-Luc Mélenchon « ne peut pas gagner, il serait écrasé et je pense qu'(il) est le meilleur allié du Rassemblement national », a déclaré Pierre Moscovici, au grand Jury RTL-Public Sénat-Le Figaro-M6.

« Les positions de Jean-Luc Mélenchon me déplaisent sur toute une série de sujets profondément. Tout ce qu’il a pu dire sur l’espèce d’antisémitisme d’ambiance qui existe dans son parti et toute une série d’autres provocations qui ont eu lieu, ça me déplaît, mais je sais qu’il ne peut pas gagner l’élection », a-t-il développé.

Les divergences entre insoumis et socialistes signent-elles la fin du Nouveau Front populaire?

« Pas de candidat totalement convaincant »

« Les autres (le RN, NDLR), oui, ils sont en position de le faire. Ils sont même aujourd’hui les favoris », a poursuivi l’ancien ministre de l’Économie de François Hollande.

Face au « bloc » que propose le Rassemblement national, Pierre Moscovici a déploré qu’il n’y ait « pas de solutions, pas d’offre et pour le moment pas de candidat totalement convaincant ».

Est-ce que l’instabilité politique profite au Rassemblement national?

« Vous avez en face une poussière de partis dont on cherche la cohérence, et le débat budgétaire l’illustre », a-t-il continué, faisant le constat d’un « front républicain qui n’existe plus ».

« Il y a un travail à faire par les partis politiques, notamment de gauche – mais pas qu’eux – qui est considérable », a-t-il prévenu.

Parmi les candidats, Raphaël Glucksmann est « pour le moment celui qui semble le mieux à même de rassembler » les « électeurs orphelins » de la social-démocratie qu’il promeut, mais il « faut qu’il construise » encore son offre politique.

Source

Comment choisir sa prévoyance complémentaire quand on est travailleur indépendant ?

« Comment savoir si je ne vais pas gaspiller mon argent pour rien ? », s’interroge Justine (les prénoms ont été modifiés). A 35 ans, cette coach sportive, qui a lancé sa propre salle de remise en forme dans la Gironde, songe à souscrire une prévoyance complémentaire. « J’ai créé ma microentreprise il y a cinq ans, peu après le premier confinement. C’est devenu mon bébé et j’ai peur de tout perdre si je ne me protège pas assez en cas de pépin. Mais les prix sont très élevés », confie-t-elle.

En France, les travailleurs indépendants, patrons d’entreprise et professions libérales sont de plus en plus nombreux « à exprimer une inquiétude croissante face à l’impact de la conjoncture sur leur activité », affirme Swiss Life dans la deuxième édition de l’indice de vulnérabilité des travailleurs non salariés (TNS), rendue publique le 27 août.

Lire aussi | Quelle complémentaire santé pour les alternants et apprentis ?

Les TNS sondés témoignent d’un sentiment d’insécurité en cas d’interruption de leur activité professionnelle. « Dans cette hypothèse, 81 % des dirigeants de très petites entreprises (stable par rapport à juin 2024) et des indépendants (+ 3 points) estiment que leur activité professionnelle serait en péril ; un sentiment encore plus présent dans les perceptions des médecins (88 %) », apprend-on.

Etre salarié bien plus avantageux

Et pour cause : « En cas d’arrêt de travail, l’indemnisation par la Sécurité sociale est extrêmement faible », abonde Olivier Moustacakis, cofondateur du comparateur en ligne Assurland.

En plus du délai de carence de trois jours pendant lesquels le travailleur indépendant ou le dirigeant d’entreprise n’est pas couvert, l’indemnité journalière d’arrêt-maladie est en effet égale à 1/730e du revenu d’activité annuel moyen. Celui-ci est calculé sur la moyenne des revenus cotisés des trois années civiles précédant la date de l’arrêt de travail. Et ce, dans la limite du plafond annuel de la Sécurité sociale, soit 47 100 euros brut au 1er janvier 2025. Conséquence, « si les indépendants ou les patrons ne souscrivent pas une prévoyance, leur revenu peut chuter de 50 % à 60 % dès le premier mois d’arrêt », prévient Olivier Moustacakis.

Il vous reste 60.42% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Source

Vigilance orange pluies-crues: à Laroque, le fleuve Hérault commence à déborder


Vigilance orange pluies-crues: à Laroque, le fleuve Hérault commence à déborder{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

Sur le même sujet

4:27

« Il ne faut surtout pas forcer »: à l’approche de Noël, voici comment ouvrir les huîtres sans se blesser

2:06

Avec 15.000 calendriers personnalisés imprimés par jour, cette entreprise tourne à plein régime à deux jours du réveillon

2:46

ÉDITO – “Ne signez rien avant le 1ᵉʳ janvier”: le PEL va augmenter à 2% en 2026

2:16

300 mètres de long, 36.000 tonnes… Voilà à quoi ressemblera le futur porte-avions français

1:14

Guirlandes de Noël: comment prévenir les risques d’incendie électriques?

1:25

Nouveau porte-avions français: focus sur ce navire qui doit remplacer le Charles de Gaulle

1:13

2 MINUTES POUR COMPRENDRE – Les adultes font leur retour dans les rayons de jouets

1:29

Hautes-Alpes: BFMTV vous emmène au cœur de la station de ski la moins chère d’Europe

0:55

Ardèche, Hérault… Les images des inondations inédites qui ont touché le sud-est de la France

1:12

Nouveau porte-avions français: les soldats déjà impatients

1:04

Nouveau porte-avions français: « Il est à la pointe de la modernité », détaille Alain Coldefy, ancien commandant du porte-avions Clemenceau

9:24

Vol Paris-Ajaccio dérouté: Jean Serrat, consultant aéronautique BFMTV, explique ce qu’il s’est passé ce samedi

1:06

Nouveau porte-avions français pour 2038: « C’est Noël avant l’heure pour la marine nationale », déclare Pierre-Henri Chuet, ancien pilote de chasse

2:20

À quoi ressemblera le nouveau porte-avions français pour 2038 ?

appendScript(« /assets/v17/js/videoPlayer.891ee547d07abbb206ad.js »));]]>s());]]>{window.tagCoScriptLoaded=true};]]> appendScript(‘https://synchrobox.adswizz.com/register2.php’));]]> appendScript(‘https://delivery-cdn-cf.adswizz.com/adswizz/js/SynchroClient2.js’));]]>

Source

A Sciences Po Paris, un salarié accusé de harcèlement sexuel suspendu

Devant le campus parisien de Sciences Po Paris, le 2 mai 2024. DIMITAR DILKOFF/AFP

Un membre de l’administration de Sciences Po a été mis à pied par la direction de l’établissement le 15 décembre. Chargé de mission au sein du pôle égalité des chances depuis près de dix ans, également ancien chargé d’enseignement, il est accusé de harcèlement sexuel par une ex-lycéenne qui avait suivi un programme de préparation aux épreuves du concours lors de son année de terminale, en 2024.

Ce salarié était chargé d’organiser rencontres et ateliers dans le lycée de la région bordelaise où était inscrite la jeune femme. Lorsqu’elle a appris qu’une autre lycéenne de son établissement avait vécu une expérience similaire, elle a décidé de dénoncer les faits dans une vidéo diffusée sur TikTok, le 12 décembre.

Depuis 2001, les conventions éducation prioritaire sont l’emblème de l’ouverture sociale de Sciences Po, qui a admis par cette voie spécifique quelque 3 000 élèves issus de 209 lycées partenaires.

Appel à témoignages

« Le salarié n’a pas remis en cause les accusations », rapporte au Monde la direction de Sciences Po, qui a ouvert une procédure disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement. « Nous sommes déterminés à faire toute la lumière sur l’ensemble des faits dans un esprit de transparence absolue et à tirer toutes les conséquences nécessaires », insiste Kate Vivian, directrice de l’engagement, dans un message envoyé à l’ensemble des étudiants dont Le Monde a eu copie. Un appel à témoignages a été lancé. Sollicité par Le Monde, le salarié n’a pas donné suite.

Il vous reste 60.69% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Source

« Pour la sécurité de chaque Français »: Emmanuel Macron dit sa « reconnaissance » aux troupes françaises

Le chef de l’État a entamé ce dimanche 21 décembre une visite aux Émirats arabes unis pour célébrer Noël avec les quelque 900 soldats français qui y sont déployés. Il a notamment annoncé la future construction d’un nouveau porte-avions.

Selon la tradition, le président français célèbre les fêtes de fin d’année auprès des troupes déployées à l’étranger. Ce dimanche 21 décembre, Emmanuel Macron se trouvait aux Émirats arabes unis, sur la base d’Abou Dhabi, où 900 militaires français sont déployés.

Sur place, le chef de l’État a tenu à « saluer l’engagement de nos soldats ». « Je sais la détermination de chacun pour la réussite de la mission et je sais aussi le tribut que vous acquittez pour la réussite de celle-ci », a-t-il déclaré.

Emmanuel Macron s’est notamment adressé aux militaires stationnés à l’étranger. « Nos compatriotes savent que la situation internationale pèse sur leur quotidien (…). Ce qui se passe chez nous trouve ses racines et ses remèdes ailleurs », a lancé le chef de l’État. Devant les soldats présents à Abou Dhabi, il a salué leur service « pour défendre la sauvegarde des intérêts de la nation et la sécurité de chaque Français ».

Quel est l’enjeu stratégique du futur porte-avions annoncé par Emmanuel Macron?

Le président a également adressé ses pensées pour les soldats morts ou blessés pendant l’exercice de leurs missions cette année. « Un pays fort est un pays reconnaissant envers ceux qui les servent », a-t-il dit, rappelant « la solidarité absolue que nous devons à leur famille ».

« L’armée la plus efficace d’Europe »

Emmanuel Macron a également fait part de son ambition de « continuer d’avoir l’armée la plus efficace d’Europe », de se « doter des meilleurs équipements et de poursuivre leur modernisation ». « Mais tout cela ne serait rien sans les hommes et les femmes qui font les armées », a-t-il ajouté.

À cet égard, il a confirmé ce dimanche depuis Abou Dhabi le coup d’envoi de la construction du futur porte-avions de la marine nationale, qui remplacera l’actuel Charles de Gaulle à la fin des années 2030, une décision prise « cette semaine ».

« À l’heure des prédateurs, nous devons être forts pour être craints », a-t-il déclaré.

Un « partenaire stratégique » avec les Émirats

S’adressant aux « FFEAU », les Forces françaises aux Émirats arabes unis, Emmanuel Macron a salué « une force de stabilité », citant, par exemple, la participation à l’évacuation du Soudan en 2023, les opérations en Syrie et en Irak ou encore celles dans les mers, notamment pour lutter contre les trafics.

La France coopère avec les Émirats arabes unis sur un éventail de domaines allant de l’intelligence artificielle à la culture, en passant bien sûr par le commerce. Le pays pétrolier est son premier client en termes d’exportations au Proche et Moyen-Orient, selon la présidence française. Paris veut désormais s’assurer de l’appui de ce pays dans la « guerre » déclarée par le gouvernement au narcotrafic.

La délégation française comprend d’ailleurs, en plus du ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot et de la ministre des Armées Catherine Vautrin, le ministre de la Justice Gérald Darmanin, qui avait déjà réclamé en novembre aux Émirats arabes unis l’extradition d’une quinzaine de narcotrafiquants présumés recherchés par la France.

La France est « la seule nation étrangère dont les militaires sont présents avec leur famille » aux Émirats arabes unis, a noté Emmanuel Macron ce dimanche, parlant ainsi d’un « partenaire stratégique avec qui nous entretenons des liens de très grande confiance ».

Source