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La fenêtre par laquelle les voleurs se sont introduits dans le Musée du Louvre. Ici, le 20 octobre 2025. BENOIT TESSIER/REUTERS
Et de quatre. Le commando du casse du Louvre semble désormais au complet derrière les barreaux. Le quatrième membre présumé a été mis en examen, vendredi 28 novembre, a confirmé le parquet de Paris. Dans l’attente de son passage devant le juge des libertés et de la détention, différé à mardi à la demande de ses avocates, l’homme de 39 ans a été incarcéré.
Il est soupçonné d’être l’un des deux complices restés à l’extérieur du musée, quand deux autres grimpaient au balcon du Louvre dans la nacelle d’un camion élévateur désormais célèbre dans le monde entier, tant la scène, immortalisée par les touristes aux alentours, a circulé sur les réseaux sociaux depuis le cambriolage, le 19 octobre.
Sur une première image, deux hommes encagoulés et portant des gilets jaunes se hissent ainsi en plein jour jusqu’à l’une des fenêtres extérieures du Louvre, dans ce qui ressemble à un simple monte-charge de déménagement. Sur une autre vidéo, on peut les voir redescendre quelques minutes plus tard, presque au ralenti, pour rejoindre leurs complices à l’extérieur et s’enfuir sur des scooters. A l’aide de simples disqueuses, ils viennent de dérober huit joyaux de la couronne de France dans la galerie d’Apollon, dont le diadème de l’impératrice Eugénie aux près de 2 000 diamants. Un butin estimé à 88 millions d’euros, que les enquêteurs recherchent toujours, tout comme les commanditaires de ce vol spectaculaire.
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Devant le Technocentre Renault à Guyancourt (Yvelines), le 26 septembre 2024. C. CASABIANCA/REA
En septembre, François Provost, le nouveau directeur général de Renault, a fait envoyer une note interne aux salariés du groupe destinée à leur « apporter des clés de lecture claires » sur les « discussions » en cours entre Renault et le ministère des armées autour de différents projets et notamment la production de drones. La direction a reconnu qu’elle y voyait un « complément d’activité pour ses sites français » et « une opportunité économique rentable »,citant d’autres exemples de groupes industriels engagés dans cette voie. Elle a alors promis « une communication transparente ».
Le courrier se montrait prudent, « Renault Group ne vise pas à devenir un acteur majeur de la défense, mais à apporter son expertise industrielle ». Discrètement, sans en dire plus aux partenaires sociaux, il avance bien dans cette direction. Selon nos informations, les équipes d’ingénierie de Renault du Technocentre de Guyancourt (Yvelines) et du centre technique de Villiers-Saint-Frédéric travaillent à la mise au point d’un véhicule téléopéré, un drone terrestre.
Officiellement, ce n’est pas un véhicule militaire. Il peut aussi être utilisé civilement par les pompiers et les services de secours. « C’est un projet de recherche et développement, nous n’avons pas encore de client », précise un porte-parole, confirmant l’existence d’un prototype test. Il s’agirait, pour le moment, d’« une piste d’étude, un projet assez jeune », nous précise-t-on. A ce stade, Renault dit ne pas avoir de commande ou de client, mais selon nos informations, il travaille avec Arquus.
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Le pape Léon XIV dirige une prière œcuménique près des fouilles archéologiques touchant l’ancienne basilique Saint-Néophyte, à Iznik, en Turquie, le 28 novembre 2025. DOMENICO STINELLIS/AP
Soudain, le bruit des pales qui fendent le ciel. Là-haut, l’hélicoptère blanc et rouge qui transporte le pape Léon XIV apparaît au-dessus du lac d’Iznik, à 90 kilomètres d’Istanbul. Quelques minutes plus tard retentissent les appels des muezzins des mosquées de cette ville moderne de Turquie, édifiée à l’emplacement de la cité antique de Nicée. C’est ici que l’empereur romain Constantin a réuni, il y a mille sept cents ans, les patriarches chrétiens en concile pour définir le fondement des croyances des adeptes de cette religion née moins de trois siècles plus tôt : le Credo.
Aujourd’hui, dans un pays où les croyants sont très majoritairement musulmans, Nicée demeure un symbole majeur pour les chrétiens. En 2014, un survol de ce lac artificiel a permis de redécouvrir les restes d’une basilique immergée, construite au Ve siècle en l’honneur du concile. C’est au plus près de ces vestiges, dont quelques pierres émergées s’aperçoivent, que le chef de l’Eglise catholique, répondant à l’invitation du patriarche orthodoxe de Constantinople, Bartholomée, est venu célébrer l’anniversaire du concile de Nicée, vendredi 28 novembre. Cet événement est au cœur de la première étape du voyage de Léon XIV, qui le conduira ensuite au Liban à partir de dimanche.
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La trentenaire et la quadragénaire ont toutes les deux été condamnées à 22 ans de prison pour l’assassinat de la mère de l’une d’elles en 2022. Elle avait été retrouvée assise sur une chaise, la tête recouverte d’un sac poubelle et le dos lardé de 61 coups de couteau.
Deux femmes ont été condamnées ce vendredi 28 novembre par la cour d’assises du Bas-Rhin à 22 ans de réclusion criminelle pour l’assassinat de la mère de l’une d’elles, qui n’acceptait pas leur relation.
La cour n’a pas fait de différence entre la fille de la victime, Sandy Strebler, âgée de 35 ans, et la compagne de celle-ci, Élodie Bruey, 42 ans. Elle a reconnu à chacune une altération de leur discernement au moment des faits et les a condamnées à la même peine, assortie d’un suivi socio-judiciaire de 10 ans avec injonction de soins.
Les peines prononcées sont inférieures aux 25 ans de réclusion requis contre le duo, qui était jugé depuis mercredi.
« Une boucherie »
Le 13 octobre 2022, Sonia Darmann, 68 ans, avait été découverte morte chez elle à Haguenau, assise sur une chaise, la tête recouverte d’un sac poubelle et le dos lardé de 61 coups de couteau. Elle ne présentait pas de blessures de défense.
L’avocat général, Guillaume Spindler, avait évoqué une « boucherie », un crime commis avec « une telle violence et une telle rapidité que la victime n’a pas eu le temps de réagir ».
Il avait mis en avant l’altération du discernement des deux accusées, ce qui abaisse la peine encourue à 30 ans de prison, et avait requis à l’encontre de chacune 25 ans de réclusion, dont une période de sûreté de 15 ans, et un suivi socio-judiciaire comprenant une injonction de soins de 20 ans.
« Deux enfants »
Caroline Bolla, avocate de Élodie Bruey, a insisté sur la « fragilité des accusées », qui souffrent toutes deux de déficiences intellectuelles et se sont rencontrées dans un établissement public de santé mentale.
Sa cliente compte « 29 hospitalisations en psychiatrie en moins de onze ans » et elle était sous curatelle renforcée au moment des faits.
« Le QI de Mme Bruey, c’est le QI d’un enfant de 8 ans. Un enfant de 8 ans ne pourrait pas être mis en prison », a-t-elle plaidé.
« Vous avez deux enfants dans le box » a aussi décrit aux jurés Georges-Frédéric Maillard, avocat de Sandy Strebler.
« Un contexte familial terrible »
Il a expliqué les nombreux coups de couteau portés par sa cliente par « les années de colère, de frustration, de mauvaise relation avec sa mère qui explosent ».
Sandy Strebler a grandi dans un « contexte familial terrible » avec une « mère addict aux médicaments » et un « père alcoolique ». Ce n’est « pas un monstre » a-t-il plaidé mais une « femme qui a été en grande difficulté et qui a fait un choix terrible, celui de tuer sa mère ».
Les deux femmes se sont « montées le bourrichon », selon lui.
Placées sous tutelle
« J’étais en colère, Élodie m’a manipulée », « j’ai beaucoup de remords », a déclaré Sandy Strebler, cheveux courts et traits juvéniles, avant que la cour ne se retire pour délibérer. « Je regrette énormément », a dit son ancienne compagne, à la carrure imposante.
« J’en fais des cauchemars, je pleure ».
Le 13 octobre 2022, Élodie Bruey avait contacté sa grand-mère pour lui dire que Sandy et elle avaient tué la mère de Sandy. Le couple avait fui en train à Bordeaux où elles avaient fini par se rendre dans un hôpital, avouant le meurtre. Élodie Bruey et Sandy Strebler sont toutes deux sous tutelle aujourd’hui.
La Cinémathèque française, à Paris, le 15 février 2013. JACQUES DEMARTHON/AFP
La Cinémathèque française a annoncé vendredi 28 novembre la fermeture pour un mois de ses quatre salles à Paris afin de mener un « traitement complet » contre les punaises de lit qui s’y trouvent, selon un communiqué.
Cette fermeture intervient « à la suite de nouveaux signalements » et doit permettre de « garantir » aux spectateurs « un environnement parfaitement sûr et confortable », précise cette institution de la cinéphilie au rayonnement international. Située dans le 12e arrondissement de la capitale, la Cinémathèque comprend trois salles ouvertes au public, et une quatrième utilisée pour des activités éducatives.
« L’ensemble des fauteuils seront démontés puis traités individuellement à la vapeur sèche à 180 degrés, à plusieurs reprises, avant de faire l’objet de contrôles canins systématiques validant chaque étape », précise l’institution. Les moquettes subiront le « même niveau » de traitement.
Les autres espaces de la Cinémathèque restent ouverts, notamment son exposition en cours sur Orson Welles. Au début de novembre, plusieurs spectateurs avaient témoigné dans la presse après avoir été piqués par des punaises de lit lors d’une « master class » avec l’actrice Sigourney Weaver. « On les voyait courir sur les sièges et les habits », avait déclaré l’un d’entre eux au quotidien Le Parisien.
« Depuis 2021, la Cinémathèque française applique un protocole de prévention et de traitement rigoureux » concernant les punaises de lit, « mis en œuvre par ses équipes et des prestataires spécialisés et certifiés », peut-on lire sur son site Internet. Ces minuscules créatures se cachent souvent dans les fissures des têtes de lit, les coutures des matelas et les housses d’oreillers, et provoquent de fortes démangeaisons. Le gouvernement avait ainsi pris le problème à bras-le-corps avant les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Sur les réseaux sociaux thaïlandais comme cambodgiens, les images générées par l’IA, la désinformation et les hashtags belliqueux n’ont pas vraiment contribué à résoudre le conflit. Pour de nombreux observateurs, ils ont même attisé les tensions, ravivant l’incendie il y a quelques jours, alors qu’un cessez-le-feu avait été signé en juillet.
Une poudrière qui ne dit pas son nom. Dans un post Facebook daté du 17 septembre, des photos de soldats et de civils, sorties de leur contexte, circulent avec la légende: « Des soldats cambodgiens utilisent des civils comme boucliers humains ». Les hashtags #TruthFromThailand et #CambodiaOpenedFire apparaissent, comme dans de nombreux commentaires.
Alors que le conflit ouvert semblait s’être apaisé depuis la paix conclue sous l’égide américaine durant l’été, un regain de tension début novembre, avec un mort côté cambodgien et un blessé grave côté thaïlandais, a révélé l’incapacité des deux pays à s’entendre, ramenant la situation à celle d’il y a trois mois, lorsque les affrontements frontaliers avaient fait plus d’une quarantaine de morts.
Depuis le cessez-le-feu du 28 juillet 2025, les combats ont certes diminué, mais la guerre de l’information continue de faire rage sur les réseaux sociaux, où, derrière les appels à la paix, une rhétorique nettement plus belliqueuse ne cesse de s’amplifier.
“Le Cambodge a tiré en premier”
En Thaïlande, la stratégie numérique de l’armée s’appuie sur la mobilisation de l’opinion publique via des hashtags tels que « Les Thaïlandais aiment la paix mais ne sont pas des lâches », « Le Cambodge a tiré en premier » et « CambodiaOpenedfire ». Ces mots-clés présentent le Cambodge comme l’agresseur à l’origine des hostilités du 24 juillet, qui ont causé au moins 20 morts parmi des civils et des militaires et entraîné l’évacuation de 97.000 habitants de villages frontaliers vers des zones sécurisées dans quatre provinces.
Cette tactique, qui consiste à encourager massivement la population à relayer ces hashtags, s’appuie sur des récits nationalistes profondément ancrés et s’inscrit dans une stratégie plus large de « mobilisation de l’information », où la participation citoyenne au discours numérique devient un outil au service des objectifs de l’État, selon un rapport de l’Institute of Southeast Asian Studies (ISEAS), organisme de recherche relevant du ministère de l’Éducation de Singapour.
Parallèlement, les médias cambodgiens et les influenceurs en ligne ont diffusé de la désinformation avec une vidéo truquée d’un prétendu « raid aérien thaïlandais », largement partagée sur internet, la présentant comme une incursion agressive repoussée par les forces cambodgiennes. Après vérification, il s’est avéré que les images, censées montrer un avion thaïlandais abattu, provenaient en réalité de la guerre russo-ukrainienne.
L’objectif de cette vidéo était de mobiliser le soutien populaire au Cambodge et de remonter le moral de la population en projetant l’image d’une résistance victorieuse, suggérant ainsi que l’armée cambodgienne pouvait vaincre la puissance aérienne thaïlandaise.
Ce qui contribue à renforcer l’image du Cambodge comme une nation résiliente et opprimée. Cette pratique rappelle également les tactiques utilisées dans d’autres conflits, où des images étrangères recyclées sont stratégiquement utilisées pour susciter l’indignation et manipuler l’opinion publique.
Cyberattaques et désinformations
Mais l’aspect numérique du conflit ne s’arrête pas là. Les cyberattaques ont pris une importance croissante en juin 2025 lorsque les médias thaïlandais ont rapporté que des pirates informatiques cambodgiens, connus sous le nom d’AnonsecKh , lançaient des attaques par déni de service distribué (DDoS) contre les sites web d’institutions gouvernementales, militaires et privées thaïlandaises.
Des allégations, non prouvées pour l’heure, ont également fait état de l’utilisation par le Cambodge de pirates informatiques nord-coréens pour mener des cyberattaques contre des institutions thaïlandaises.
En juillet dernier, le Cambodge a officiellement nié tout lien avec des hackers de Pyongyang et a accusé la Thaïlande de tenter de nuire à sa réputation internationale. Par ailleurs, le gouvernement cambodgien a signalé que des pirates informatiques thaïlandais, connus sous le nom de « BlackEye-Thai« , ciblaient les sites web d’institutions gouvernementales cambodgiennes depuis la mi-juin 2025.
Pour Wasin Pantong, maître de conférences au Département de science politique et de gouvernement de l’Université Thammasat, de Bangkok (Thaïlande), les fausses informations se déclinent en trois types : textuelles, vidéo et visuelles. “Je les représente dans des cercles qui se chevauchent, car il arrive qu’un même message combine deux ou même les trois types. Le plus souvent, d’après mon expérience, ils sont utilisés simultanément”, expliquait-il, lors d’un colloque sur la guerre de l’information lors de ce conflit.
De son côté, lors du même colloque, Somkid Petchprasert, maître de conférences en sciences politiques à l’université de Burapha, situé au Sud de Bangkok, soulignait que rumeurs et propagande brouillent en permanence la frontière entre vrai et faux, un phénomène amplifié par le “biais de confirmation”. “Une personne qui a grandi près de la frontière thaïlando-cambodgienne verra ses convictions renforcées par toute information négative sur le Cambodge”, illustrait-il, en rappelant des dictons locaux comme “On ne peut pas faire confiance aux Khmers une fois rassasiés”.
Selon lui, le public sélectionne naturellement les informations qui confortent ses croyances : “Une information peut ne contenir que 10 % de faits, le reste étant embellissement, mais les gens ont tendance à la croire d’emblée.” Il dénonce un système où “n’importe qui peut se prendre pour un journaliste” sans formation ni éthique, dans une course au buzz qui “rend les gens vulnérables à la manipulation”.
Ces dérives peuvent vite dégénérer : “Imaginez des supporters de Liverpool et de Manchester United : une simple provocation peut créer une bagarre. Sans parler de la Thaïlande et du Cambodge”, prévient-il.
Une mécanique des conflits mordernes
Cet exemple thaïo-cambodgien illustre comment, aujourd’hui, les réseaux sociaux sont devenus une véritable mécanique des conflits modernes: ils amplifient les tensions, diffusent rumeurs et propagande, et influencent l’opinion publique, souvent bien avant le déclenchement des hostilités. Pour les armées, maîtriser l’influence est désormais indispensable à toute opération.
Selon l’ancien chef d’état-major des armées françaises, le général Thierry Burkhard, il s’agit même de « gagner la guerre avant la guerre ».
Plus récement, BFM Tech & Co, faisait aussi état d’une nouvelle phase de « la guerre informationnelle » entre les États-Unis et le Venezuela. Les deux pays, déjà opposés sur les plans diplomatique et géopolitique, s’affrontent désormais sur les réseaux sociaux comme dans la presse, chacun cherchant à imposer son récit.
Côté vénézuélien, des images générées par intelligence artificielle mettent en scène une armée prête à défendre le pays face à Washington, alors que les États-Unis renforcent leur présence militaire dans la région, notamment avec un groupe aéronaval et des frappes contre des navires jugés liés au narcotrafic dans la mer des Caraïbes.
En réponse, des comptes américains, souvent proches du mouvement MAGA, diffusent eux aussi des visuels produits par IA, cette fois pour tourner en dérision l’armée vénézuélienne et en affaiblir l’image. Une bataille numérique où l’IA amplifie encore un peu plus la confrontation entre les deux nations, envemine les choses, diffuse le poison insidieux de la propagande et du mensonge, attisant des haines apprises. Exactement comme entre la Thaïlande et le Cambodge…
Le calcul sur les doigts, une étape indispensable pour aider les enfants à passer au calcul mental, selon une étude{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>